Le plus marrant à quand on faisait des conneries c’est le moment d’adrénaline qui vous prend au trippes au moment ou vous êtes sur le point de faire la bêtises. C’est aussi, il vient en deuxième position, le moment ou on réfléchit à quelle genre de conneries on va faire, quand l’excitation monte, et qu’on ne se soucie pas du tout des retombées de son geste. Le moment ou l’adrénaline est à son comble s’est la fuite, quand on fuit les responsabilité de la portée de son geste, du moins pour un moment. Quand on court à n’en plus pouvoir, mort de rire, prêt à tomber à chaque virage, et que finalement, on calcule mal son coup, et qu’on se ramasse dans un embranchement de couloir, qu’on tombe par terre mort de rire, impossible de se relever tellement les soubresaut envahisse la moindre parcelle de votre corps. Mais par contre, le moment le moins marrant, c’est bien quand les responsabilités finisse par nous rattraper, et que, ce croyant trop malin, on tombe tout cru entre les griffes du chat. La punition, c’est le moment le plus difficile, l’envie d’envoyer chier le monde est tellement forte qu’on a dut mal à se retenir, surtout quand on vous demande de frotter les barreaux d’un lit dans l’infirmerie. Sans aide de la magie, c’était idiot franchement, le résultat serait plus concluant si on utilisait un sort et hop! On en parlerait plus, mais non, ce que les professeurs et autres adultes pouvait être idiots parfois.

« Et vous avez essayer calgon? »

Un produit moldu, donner au hasard, l’envie de rire tellement forte que vous êtes obligé de vous mordre férocement la lèvre inferieur. La connerie, on l’a, ou on l’a pas. Mais quand on l’attrape, c’est assez durs de s’en débarrasser non?

« Ne faites pas l’intéressant Mr Potter, allez à genoux et frottez un peu! Ca ne vous fera pas de mal de vous abaissez à de telle tache, à toujours se croire supérieur. »

Albus lui servit un sourire arrogant, remplit d’ironie avant de lui faire une révérence des plus moqueuse et de s’accroupir auprès du lit le plus loin de la porte d’entrée. Il passa sa main délicatement sur le barreau avant de l’empoigné sauvagement et d’y appliquer le chiffon avec énervement. Il n’avait pas été forcement très malin de se faire attraper comme cela. Tant pis. Ca lui apprendrait à retenir ses fou-rires après ses conneries. Il entendit la porte s’ouvrir suivit par la voix de sa cousine. Il redressa la tête et eut un sourire ironique. Elle n’allait pas tarder à se foutre de lui pour avoir récurer un barreau de lit. Il se releva d’un bond souple avant de se diriger vers sa cousine et de la prendre dans ses bras pour la faire tournoyé autours de lui. Elle était légère, vraiment légère. Il sentait ses boucles blonde venir le chatouiller. Il la reposa et vit ensuite un jeune homme aux cotés de sa cousine.. C’était… Westley? Westley Foil? Non? Si. Il lui adressa un signe de tête.

« Salut Potter… »

Albus s’apprétait à lui retourner la pareil quand sa cousine poursuivit.

« Qu’elle originalité! Westley Albus, Albus, Westley! Comment va mon cousin d’amour? »

Albus dirigea son regard bleu sur le jeune homme et lui tendit la main.

« Enchanté de faire ta connaissance. »

Bien sur qu’ils s’étaient déjà vu une ou deux fois. Ou même plus, mais, franchement il n’avait pas fait attention.

« Et bien.. Je vais aussi bien que pourrait l’être un prisonnier derrière ses barreaux de fers. »

Il s’était tourné vers Victoire et lui désignait le barreau qu’il avait commencer à nettoyer.