Le concept ressemble un peu à un jeu, mais je préfère que ce soit là.
Vous écrivez le nom d'une musique, et vous devez faire un petit texte sur ce que vous inspire cette musique. Et comme il est très honorable, je cède la place à Bubus qui va nous montrer comment faire. A toi, Grand Manitou.

Cool, merci Bubus pour cette superbe entrée, joyeuse et pleine de vie...
Bon, je vais dévier sur un autre sujet que la mort et moi, c'est pas le même style...c'est une anecdote de mon livre (que je n'ai pas encore écrite) issue de

Spring nicht. Tokio Hotel.




Le silence.
D'une nuit emplis de bruits lointains et incapables de stopper la tournures des choses.
Elyo enjamba le rebord de l'immeuble.
Sur les toits, il fait si froid, si calme. Plus personne ne pouvait rien dire et critiquer. C'était le choix.
Les pleurs.
Les cheveux bouclés du métis flottaient comme des spectres irrels autour du visage impassible. Les yeux fermés. LE vide en dessous.
Qui l'appellait.
Lentement, les yeux verts se dévoilèrent, insensibles, embrassèrent les ténèbres d'un monde trop vide et trop emplis.
_Elyoooo!
La porte de fer grillagée, dans un écho, claqua avec violence sur le mur. Un bruit de course. Willan.
Il ouvrit la bouche.
Fière statue dans sa désolation, Elyo ne ressentait plus. Son coeur, vide, était absent. Il n'existait plus de lien avec la vie. Juste le contact des semelles de caoutchouc sur le rebord de pierre.
LEs paroles de Willan parlèrent, embrassèrent, cherchaient. Le cherchaient. Il était trop fort...Willan était trop fort. Les mots glissaient, et animés d'un amour, d'un désespoir, créait des millions de chaines qui lui hurlaient de se retenir à la vie, de ne pas bouger.
Un pas.
Willan pleurait. Sans le sentir. Sur sa peau métisse couraient les larmes nées des yeux verts. Il hurlait.
LA barrière du local d'électricité les séparaient. Elyo avait prit une échelle pour l'escalader. Il avait placé un obstacle entre la vie et la mort. Willan hurlait derrière le grillage.
Il ferma les yeux. Ne plus rien voir, ne plus rien entendre, ne plus rien penser, ne plus rien sentir.

Willan cessa de crier.
LEs paroles sortaient de ses lèvres sans qu'il ne prenne le temps d'y songer. C'était son sang, son amour et son frère.
_Ne saute pas.

Gael courut. LEs escaliers furent dévalés. L'eau de la pluie nocturnes le fit déraper. Il chuta dans les marches. Se releva et courut. Toujours vers le haut, vers les toits.
Il traversa l'iréel et le réel en pénétrant sur la terasse balayée par les vents et la pluie. Ses cheveux rouges vifs, collés à sa machoire, contrastait avec les ténèbres. Willan ne se retourna pas.
GAel courut. Il n'avait jamais fait cela. Mais courut.
Ses pieds entrèrent en contact avec l'échine deWillan. D'une violente impulsion. Lucifer Rouget faisant un soleil.
LEs mots de Willan étaient : JE ne sais combien de temps je saurais te retenir.
C'était la fin, c'était à lui. GAel.
Il toucha le sol avec la souplesse d'un chat. Il enjamba le rebord trempé.
_Donne moi ta main, je t'en supplie/

Argh !!! Je veux la suite et ce qu'il y a avant !!! Parce que je comprend pas comment ils sont passés de "tout joyeux on a peut-être trouvé le remède" à "tout triste je veux mourir et je pleure"... Ce qui d'ailleurs est vraiment bizarre... Envoie moi la suite je t'en suppliplipli !!!

Tu te fous de la gueule de mes persos, là?!
Rires. Bine sûr! Je te passe carrément le manuscrit, alors tu vas pouvoir découvrir tout le cadre! Sauf que cette scène du suicide d'Elyo, elle y est pas, mais par contre, je vais la mettre dans le livre deux.
Si tu veux, j'ai inventé plein

Ouais j'adore faire ça ! (Je plaisante, hein !!! )
Je veux !!! Le manuscrit et les inventés. Je veux tout !!!
Totalement amoureuse de ce bouquin. Pour l'instant en tout cas !

Tu vas me faire chialer, baka...

Alejandro LAdy GAga.

Une fille seule. Qui lentement, marche dans le noir. Ses yeux se posent sur le garçon.
Elle se plante face à lui.
Et danse.
Elle vole d'un garçon à l'autre.
Dan l'air, une cigarette s'allume. Elle est une flamme.
Qui démente, s'apitoie sur des papillon.
Les attire, séduisante avant de les.
Tuer.
LEs lèvres s'éffleurent, glissent. Hot.
Sa peau, sur des mains sensuelles.
Glisse, allonge, s'échappe.
Fuit.
Danse. LEs dents qui courent sur.
Ses seins. Danse.
Les mains, aux longs ongles rouges.
Déchirent avec des cris.
Les dos.
Puis de l'eau.
Et le noir.

Era l'album.

L'enfant lève son visage calme sur le ciel infini. Les mains terreuses glissent sur les brins d'herbe couchés. Le sang celte coule sur ses joues. Une flamme noire brûle.

L'adolescent aux cheveux couleur d'érable; en silence, ferme les yeux sur un monde en guerre. du haut de son arbre, il domine la terre de ses ancêtres, terre sauvage, immuable. Là où il couche, les loups dansent.
Chutant de l'arbre, il se releve silencieux. Le cheval se stoppe devant lui. Les yeux immortels d'un enfant sans âge se posent sur l'homme. A son flanc repose un éclair. Chevalier.
Le pieds armé couche le sol sous la puissance de son corps. L'enfant se relève. L'enfant aux cheveux roux. Sa peau est comme brûlée, par un soleil que lui seul peut atteindre. Le Chevalier se relève.
L'épée glisse jusqu'aux doigt presques adultes, mais encore si enfants.

L'homme glisse en silence entre les bras ouverts de la foret. Ses yeux sont vides.
Son âme est agitée comme la mer qui vient se briser sur les rocher, grise et blanche. L'adversaire se retourne. La hache à la main. Le Saxon. Le Celte lève le bras.
Et foudroie.

Mouais, c'est nul, c'est pas grave.

Nein, es ist gut. Also, schreib.