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 I'm here for your entertainment.1[solo]

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Lorcan Scamander
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MessageSujet: I'm here for your entertainment.1[solo]   I'm here for your entertainment.1[solo] EmptyMar 19 Avr - 20:32

Il était une fois un petit garçon qui venait et qui partait.
Peut être pour ne pas disparaître.

Lorcan ferma les yeux. La nausée serrait fortement son estomac, et toute sa volonté était concentrée sur la moindre faiblesse à venir. Rendrait-il tout, finalement? Il se le refusait absolument. Les mains crispés au niveau du sternum, le jeune blond ignora les brusques mouvement du Magicobus. Ses pensées, brûlantes, étaient morbides, scellant toutes les insultes qui pouvait lui venir à l'esprit. S'il avait pût, il serait descendu de ce stupide moyen de locomotion, pour se rendre lui même à Ste Mangouste, et ce via une technique beaucoup plus commode. La marche à pied.
Le jeune Gryffondor rouvrit les yeux. Zen. Rester zen et se focaliser sur quelque chose d'apaisant. Dénigrant la douleur de sa poitrine, le blond relâcha l'étreinte de ses doigts et les plongèrent dans son sac à ses côtés. Ce dernier, après un bref coulissement suite à un heurt malheureux, s'était retrouvé coincé entre ses jambes, immobilisé par ses rotules.
Les écouteurs prirent place dans les tympans sensibles du garçon. La musique explosa.
« Put.... »
Par réflexe, les dents blanches et pointues s'étaient enfoncées avec violence dans la peau charnue de sa lèvre inférieure. Lorcan, furibond, régla le volume sonore du bout des doigts, veillant sur son walkman avec un regard acéré. La musique s'éleva, plus douce, mais tout aussi terrible. Il devait noyer la douleur dans le bruit. Facile.
Le composteur, un homme jeune, habillé d'un ridicule costume violet, restait assis sur son siège, ses yeux pâles jetant de temps à autre un coup bref par dessus son journal desséché. Lorcan baissa la tête, et tenta d'ignorer le sifflement persiffleur. Il ne devrait pas être là, normalement. Normalement, il devrait être à Poudlard. Normalement. Seulement, bien coincé entre ses cahiers bousculé dans sa besace, se tenait, plié, le mot de Mrs Scamander, attestant d'un rendez-vous médical, et signé par Mrs Master. Il avait la demande expresse, et ç'aurait presque été malpolie de refuser, n'est ce pas? Rageant, Lorcan leva son visage vers la vitre à sa droite. Le Bus magique filait à travers une fin d'après midi orageuse. La pluie cinglante frappait avec véhémence les vitres, emplissant l'Angleterre d'une aura mystérieuse.
Lorcan plissa ses yeux bleus. Son reflet lui renvoya une image fatiguée. Aussi mentalement que physiquement. Lysander lui manquait. Son frère n'avait put venir l'accompagner. C'était lui même qui avait tenu à ce que son ainé ne vienne pas. Et ce dernier, silencieux, avait été furibond de son choix. Mais Luna l'avait rassuré, assurant que ce n'était qu'un simple rendez vous médical. Luna, pour une fois, l'avait déçu, ainsi.
Les doigts arachnéens du garçon se posèrent sur le verre trempé. La musique japonaise de bande son de manga résonnaient, vivifiantes. Il sourit. Comme dans un film, il était le héros, et n'avait plus qu'a réagir en fonction du thème musical. C'était une merveilleuse idée, presque géniale.
Seulement, il n'en avait pas la moindre envie musculaire.
Son front heurta le verre quand le Bus vira soudainement sur la droite. Bruit sourd. Il resta figé, sa main aplatie sur toute la surface lisse. Ses yeux s'étaient refermés. Colère, colère, colère grondante pour ce stupide abruti ricanant derrière son journal. Une seconde, le Lion eut l'envie de braquer sa baguette sur son front, et de lui faire exploser la cervelle. Mais la main câline de la faiblesse se posa sur sa joue, et il renonça. Autant ne pas faire d'histoire, souffla quelque chose à son oreille. Lorcan soupira.
Le chorus japonais le fit ouvrir les yeux. Encore une fois. Certes, il avait pour excuse, cette fois, de s'être endormi. Peut être pas suffisamment: le dragon ne l'avait pas réveillé. Il bougea lentement sa main, son regard éteint déposé avec hargne sur le sol. Merde... il était tombé au sol. Ses doigts trouvèrent la jonction du coude. Il plia doucement son bras, sentant avec un plaisir délicieux l'effort fourni par les tissus de sa chaire qui se tendait. Douce évanescence de son corps affaibli. Ça n'allait pas. Il avait dût tombé en plein sommeil. Il cilla. Le vertige du Bus avait cessé... comme si tout cela n'était qu'une impression. Peut être était il arrivé? Peut être rêvait il, succombé aux plaisir morphéens. Quelle tristesse, lui qui avait tenu à combattre le plus longtemps la torpeur. Son coude retomba au sol, et il posa une main dure sur le sol. Devant ses yeux apparurent des chaussures lustrées. Il arqua ses sourcils. Le revers d'un pantalon violet effleurait la semelle de cuir. Les mains rêches d'un homme glissèrent sous ses flancs, et le relevèrent avec douceur. Sa gorge brûlante se tordit dans le mouvement de son échine, tandis qu'on le rasseyait.
« On est arrivé, bonhomme. Ste Mangouste. »
Le composteur s'était agenouillé à sa hauteur. Le regard trouble de son regard dévisagea une seconde la face souriante. Puis il ricana.
«  Viele danke.»
Interdit, l'homme resta une seconde immobile, puis détendit ses longues jambes, et récupéra lui même le sac de Lorcan. Ce dernier slaloma entre les banquettes de cuir du Magicobus, et passa en silence devant la petite cellule isolée du conducteur, qui ne lui jeta pas plus de regard que lui.
D'une démarche titubante, Lorcan déboucha à l'air libre, le vent frais et humide d'une brève accalmie de la pluie épousant son corps, claquant à son visage, secouant ses mèches ternies. Il était en plein milieu d'une grande place londonienne, foulée par des badaud pressés et distraits. Personne ne se regardaient. Et c'était tant mieux, songea le blond en saluant le Magicobus, qui apparemment invisible pour les Moldus, démarrait déjà, avant de partir, de disparaitre, en trombe. Les yeux bleus de Lorcan pivotèrent sur les visages sombres des anglais, et avec un soupir lassé, il passa la sangle de son sac par dessus son épaule, avant de se mêler à cette foule organisée.
Les bousculades n'étaient pas son fort. Des épaules, des jambes, du bassin; de partout les heurts accentuaient son malaise, et ses doigts se crispaient sur ses côtes, qu'il serra de plus en plus, au fil de ses foulées lentes.

L'hôpital était là. Le mannequin, sanguinaire, scrutait le visage du Scamander. Cauchemar animé face à chat en terreur. L'adolescent, plongé dans son monde, affronta les yeux défaits du monstre humanoïde. Ses lèvres laissèrent échapper des mots qu'il en s'entendit même pas murmurer. La glace s'ouvrit à lui, comme du verre fondu, s'ouvrant à un monde parallèle. Il avança, abandonnant dans son dos la journée des Moldus, plongeant dans ses propres songes effrayants.
Le hall était vide et sombre. Comme dévasté par quelque chose. Une gangrène sulfureuse ayant tué sur son passage, ravageant l'atmosphère d'un lieu d' insurrection. Calme avant la tempête... il était le loup pénétrant dans la bergerie. Seulement, une bergerie déjà pillée.
Relevant son menton, l'enfant ignora les regard des tableaux silencieux, et avança. Un silhouette spectrale se matérialisa aussitôt devant lui, la main tendue. Lorcan cessa une seconde de respirer, face au visage impénétrable de l'homme, puis doucement, sortit de son sac la convocation du soignant. Les yeux de jais du médecin longèrent quelques secondes, insistantes, le papier, puis le tendis de nouveau à l'adolescent qui humilia ses commissures. Le silence, l'angoisse le rongeait. Il n'aimait pas être là. L'homme s'écarta, et Lorcan avança, silencieux, raidi. Il avait changé toute sa manière d'être. Mais inconsciemment. Son allure de jeune chat fou avait été écrasé par une familière allure de bipède froid, distant, sec. Comme un vieil homme, tremblant de peur à l'annonce de son décès lointain. Très lointain. Mais rongé par l'amertume de la peur. De l'avarice. Lorcan sentait son corps épuisé, crispé, comme celui d'un automate, le porter vers un niveau hospitalier. Il voyait défiler, autour de lui, les décors blancs et gris, les lampes grésillantes du plafond plonger par à coup le monde dans les ténèbres,s pour l'en extraire, une seconde après par un bref éclat, avant de replonger de nouveau. Et incessamment.
Ses pas claquaient, trop bruyants, trop lourds. Les couloirs, étroits, semblaient très lentement, se rapprocher les uns des autres, les murs comme mouvants, pour étouffer sur la route de son calvaire.
Ses prunelles bleues accrochaient les détails, comme une loupe démesurée, sans qu'il ne puisse les maitriser. Il vit des silhouettes courant vers lui, les tâches sur les murs, les filaments des ampoules mortes, le produit des sédatifs écoulé sur le sol. Puis il tomba.
Bam.

Lorsqu'il reprit ses esprits, Lorcan se mordit aussitôt la lèvre, retenant presque désespérément un juron terrible. Il était allongé entre les draps d'un lit sentant la naphtaline. Il se leva aussitôt sur son séant, haineux. Ce sentiment l'emplissant lui redonna toutefois le sourire. A sa montre, il nota que cela faisait à peine une heure qu'il était à Londres. De plus, il semblait avoir retrouvé des forces. Secouant sa tête, il laissa les mèches blondes heurter ses tempes avec force, cherchant à revigorer ses muscles encore engourdis.
« Lorcan Lovegood-Scamander? »
Relevant son visage sérieux sur un homme dressé près du lit, Lorcan retint tout muscles faciaux, pour éviter de transformer son calme apparent. Le docteur était là.
« Oui. »
« Nous devions nous voir aujourd'hui. Je suis ravi de savoir qu'en vue des circonstances, vous avez put être présent, jeune homme. »
« ….... en effet.......monsieur. »
Quelle mauvaise grâce? Ah! Peut être celle de se découvrir une nouvelle phobie? La peur des hôpitaux? Gé-nial. Ses prunelles se posèrent sur ses draps, et ses phalanges avec pression, se ressérèrent sur le tissus nacré de son lit. L'homme réclama brièvement un tabouret, et s'installa avec une douceur méticuleuse auprès de lui. Scamander retint de balancer la moindre chose à sa porté dans le visage du Docteur... Joliveau, quand ce dernier se pencha vers lui, doucereux.
« Il paraît que votre grand-père aurait tenté sur vous une expérience magique, et indubitablement, dangereuse. »
Lorcan garda les yeux soudés à ses poignets. Il avait encore son haut, et ce dernier était collant de sueur, contre sa peau. Bordel, faites qu'ils aient quand même regardés. Cela éviterait la honte mortelle. S'il vous plait, faites qu'ils aient quand même soulevé le T-shirt...
Joliveau restait silencieux. Son visage ne trahissait aucun sentiments. Mais Lorcan était encore plus têtu que lui, foi de Luna. Alors, avec douceur, l'homme tendit sa main vers le haut. Les yeux de Lorcan s'ouvrirent grand et ses doigts se plaquèrent sur le poignet de l'homme, broyant les ligaments de l'articulation, le regard en proie à un feu terrible.
« Lashlabask! »
Le sort fit éclater sa pression, et presque aussitôt, deux hommes inconnus se dressèrent près de son lit, le plaquant contre le matelas. Joliveau se leva, et du bout de sa baguette, en dépit du cri de rage de Lorcan, souleva le T-shirt, ignorant les mouvements compulsifs, comme un ver sectionné en deux.
« Arrêtez! Arrêtez! Vous n'avez pas le droit! Moi je ne veux pas! Lâchez moi! »
Furibond, le jeune Gryffondor chercha à mordre les mains écrasant ses épaules, l'immobilisant sur ce matelas trempé par la sueur. Joliveau soupira, et se tournant vers lui, croisa son regard.
« Désolé, mon garçon, mais autant dans le milieu médical que judiciaire, ce que tu fais se nomme complicité. Alors je me vois dans l'obligation... de protéger un aussi jeune être que toi. Immobilus. »
Le sort frappa Lorcan entre les deux yeux, qui n'eut pas le temps de réfléchir. Tout son corps se figea, en une seconde, et avec prudence, les deux hommes lâchèrent ses épaules. Il voulut ouvrir sa bouche pour hurler, mais même ses cordes vocales et sa mâchoire s'étaient figées.
« Bien. Voyons cela, maintenant. »
La baguette de l'homme glissa le long de sa peau. Le dragon, alors, lui fût totalement visible.
La peau noire, boursoufflée, au niveau de l'estomac, tendue, crispée comme des entrelacs tribaux sur sa chaire livide, encadraient les anneaux du monstrueux animal noir. Sa gueule de lion étaie déchirée par des vergetures violacées, et ses propres griffes d'encre semblaient labourer les courbes des abdominaux. Le sang des écorchures, à vif, non cicatrisées, coagulaient, crissant sous le contact de la baguette. Lorcan voulut gémir, mais c'était trop tard. La main de Joliveau se posa sur son ventre.
Et le dragon se réveilla.
Il y eut comme une ondulation, sur le ventre du jeune Lovegood, puis soudain, Joliveau bondit en arrière. A sa main s'étirait un long filament noir. Et sous ses doigts, sous ses yeux terrorisés, l'animal rampant glissa sous sa peau, tuant sa main. Un hurlement étranglé se noya dans sa gorge, tandis que les deux gardes se précipitaient sur lui pour retirer à son étreinte le tatouage vivant. Le monstre d'encre et de magie dévorant vivant le médecin, débutant par son bras, par l'intérieur.
« Au secours! Au secours! Enlevez moi cette pourriture! Radaminiuhum! Recurvite! Finite IncantaaaahaAAAARG!!! »
Joliveau tomba au sol. Le sort d'emprisonnement quitta Lorcan, qui épouvanté, voulut récupérer son monstre, et tomba du lit. Son poignet crissa sur le sol, et il serra la mâchoire, avec douleur.
« Espèce de... reviens... »
Ses doigts se tendirent vers l'entrelacs encrée qui obscurcissait les dermes du médecin. Lorsque la main blanche du garçon effleura le corps, le dessin se retira, et coula sur le corps de son légitime propriétaire, pour venir se replacer autour de son nombril, sur la peau ravagée. Joliveau, furieux, épouvanté, se releva lentement, aidé par trois médecins qui avaient accourus.
« Je... Je... »
Il semblait incapable d'achever le moindre mot. Ses yeux exorbités fixait l'endroit où le dragon noir avait carbonisé son bras. Un homme accourut, portant une fiole contenant un étrange liquide vert, et le versa sur la peau. Cette dernière, en un sifflement à faire crisser les dents, se reforma saine. Lorcan resta ahuri, recroquevillé près de son lit, se tordait les mains, fixant le sol, incapable d'affronter le regard des adultes sous le choc.
« Mon dieu, si on m'avait prévenu que... ce n'est pas... carrément... une malédiction, cette chose! »
Joliveau était dans tout ses états. Lorcan inspira profondément, puis leva timidement le visage. Le pauvre homme, tremblant, récupéra son tabouret, et s'assit dessus.
« Mais... et depuis combien de temps porte tu cette chose? »
Lorcan ouvrit de grands yeux. Pas de colère? Pas de cris? Pas de... de n'importe quoi, juste des questions stupides? Il sentit son corps flancher. 
« Longtemps... je sais pas... »
Totalement vrai. Sous le feu des regards, et des exclamations étouffées des docteurs furibonds, il ne savait plus réfléchir. Incapable de répondre raisonnablement, il laissait venir à lui les réponses, justes ou non.
« Ton père avait raison de s'inquiéter... ce truc est un véritable virus... bon sang... sais tu quel sortilège ton grand-père à utilisé pour... »
« … Un mélange du Liévrétafors et du Gefangnis. »
Les médecins se penchèrent les uns sur les autres. Joliveau sortit un mouchoir de sa poche, et s'épongea le front avec, tremblant.
« Mais... impossible... »

La salle ressemblait désormais à ces salles moldues, que l'on voyait dans les films... bloc opératoires. Froide, morbide, silencieuse.
Lorcan, torse nu, chevilles et pieds nus, était allongé sur la table d'opération de métal. Un frisson secouait son échine. Le métal glacial formait sur sa peau une morsure cruelle. Ses mains étaient plaquées sur son estomac, cachant entre ses doigts le dragon lové sur lui même. Joliveau s'était placé dans une cabine, et veillait en silence, redevenu maître de lui même. Un laser descendit d'une espèce de baguette magique géante, fixée au plafond. Lorcan releva ses yeux sur le cerceau magnétique entourant la table d'opération, et déglutit. Le laser s'élargit, pour devenir aussi épais que son corps, et passa lentement, sur ses pieds. Lorcan frissonna. Cela ne faisait pas mal, mais le laser glissait avec une facilité trop insoutenable sur le corps qu'il avait longtemps cherché à préservé. Mais aujourd'hui c'était fini. Xénophilies allait terminer à Azkaban, et lui serait exhibé par les services médicaux comme un sujet d'étude. Une nouvelle forme de magie auto-protectrice, scellé à sa peau. Quelle invention géniale! Mais combien de temps survivrait il à la cohabitation forcée avec le dragon?
Le Laser avait atteint son bassin. Dans quelques secondes, le dragon serait autopsié. Et ce serait la fin. Lorcan se mordit les lèvres. Comment pouvait il accepter cela? Son père les avait trahis. Rolf les avaient trahis, lui et Xénophilius. Comment avait il put faire cela? Il avait découvert le tatouage, avait remonté une piste brève, tirant la vérité à Lysander qui n'avait pût résister aux demandes de son père. Et il avait été obligé de dire à Luna et à à Rolf que le tatouage de Lorcan était dangereux. Quelle connerie! Et Luna avait, soumise à l'amour pour la protection de sa famille, organisé le rendez vous médical, avertissant les Médicomages. Tout cela, une simple, bête, et efficace machination de Rolf Scamander.
Le Laser se stoppa. Lorcan déglutit, ses larmes coulant le long de ses joues, sans qu'il ne fasse rien pour les stopper. Après tout, que pouvait il vraiment faire contre un monde où les adultes veillaient sur leurs enfants? Tout cela, c'était au nom de l'amour.
Joliveau revint. Déposa une veste sur ses épaules, et sans un mot, l'aida à descendre de la table. Il tremblait. Il sortir, chancelant, de la salle opératoire.

Puis Luna sourit. Ses yeux exorbités n'avaient plus d'éclats. Une semaine, que cela passe vite. Entre ses doigts furieux, la lettre descriptive du rapport détaillé d'un diagnostic posé sur sa vie. Elle se mordit les lèvres, jusqu'à sang.

Lorcan posa sa main sur la pierre des cachots. Poudlard.
Calme, silencieuse.
Endroit de bien. Où une espèce de peste blonde rêvait de faire sa loi, parce qu'incapable de différencier la folie de la souffrance. Pétasse.
Xénophilius était à Azkaban. On racontait, que là ba,s la durée de vie était aléatoire. Lorcan s'adossa au mur, dans le couloir vide. Il se laissa glisser contre le mur, et renversa son crâne, avec lenteur. Ses doigts glissèrent sur la peau de son ventre. Sous ses doigts, il y eut comme un frémissement.
Ça c'était développé.
En cancer.
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