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 Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus)

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Angela M. Stevenson
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MessageSujet: Re: Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus)   Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus) - Page 2 EmptySam 23 Oct - 20:50

    « Endoloris. »

    Elle se sentait puissante, très puissante, Bien plus puissante qu’elle n’avait put l’être auparavant. Après des années passé à se sentir faible, manipulatrice et dangereuse, certes, mais faible par rapport à son cousin. Par rapport à ses semblables. Bien trop faible par rapport aux gens qui l’entouraient. Trop faible pour être digne d’être une sorcière. Trop faible pour une Stevenson. Trop faible pour être une sorcière puissante et crainte. Trop faible pour faire face à son vulgaire moldu de grand père. Trop faible pour faire face à la mort et son tourbillon infernal. Trop faible pour l’image qu’elle c’était forgée. Trop faible pour son rôle dans cette histoire. Bien trop faible, face à toute ses accusations. Mais c’était finit, elle ne laisserai plus jamais prendre le dessus sur elle, elle avait enfin comprit ce que le mot Puissance voulait dire. Elle avait enfin comprit le sens du mot respect. Le mot pouvoir prenait enfin sens dans son esprit auparavant bien trop embuée de question inutile et barbante. Elle savait ce qui l’attendait maintenant. Et elle n’avait pas peur. Elle n’avait plus peur. Plus jamais. Cela faisait maintenant cinq secondes qu’Albus gémissait et se tordait de douleurs à ses pieds. Pourtant, tous deux pensaient chacun de leurs cotés que le temps passait beaucoup moins vite pour eux. C’était comme si en lançant se sort, Angela avait pressé la touche « ralentit ». Albus n’en pouvait plus de cette douleurs qui envahissait chaque parcelle de son être. Elle le savait, et elle en était consciente. Elle aussi avait déjà subit ce sort. Sa poitrine devait l’enflammer, ses jambes se tordre, son cœur se compresser comme écrasé par un étau. Mais tous cela n’était pas le pire, l’impression que ça tête allait explosés était quelque chose d’atroce, toute ses visions aussi. Albus devait voir ses peurs se réaliser, comme un film dans sa tête. Angela esquissa un sourire sadique. Ses yeux n’étaient plus que deux fentes bleu acier, deux fentes au fond desquelles brillaient une lueur malveillante, un brin de folie. Elle ne contrôlait même plus ses geste, la puissance que lui procurait ce sort l’empêchait de résonner calmement et de se dire qu’elle faisait une grosse erreur en lançant un sortilège impardonnable devant témoin. Albus continuait de se tordre au pied de l’ange blond. Six secondes… Quelle était la personne qui lui avait choisit son prénom. Angela. Ange, pathétique. Le seul Ange qu’on pouvait voire sur cette jeune femme blonde, c’était le reflet d’un Ange Déchu. Un ange qui avait perdu ces ailes blanches et immaculées. Elle n’était pas ce que son apparence laissait paraître, elle était bien loin d’une jeune fille innocente et studieuse. Elle était Angela Marie Stevenson. Sept secondes… Une vois qui hurlait son prénom, effrayé. Elle s’en moquait, rien n’existait plus à part Elle, Albus et la puissance qui l’envahissait. Huit SecondeANGELA. Le cri fut plus pressant, plus genant, plus craintif. Elle hésita. Neuf secondes… Elle devait se ressaisir au plus vite! Dix Secondes… Le sort s’arrêta, net. Albus resta immobile sur le sol le souffle saccadé, le visage tordu de douleurs. Angela fis volte face. C’était Lysander qui l’appelait à l’aide.. Le feu envahissait la salle auparavant noire. La violence de cette lumière fit plissé les paupière à Angela. Elle essaya de repérer Lysander. Il était là-bas, vers le fond de la salle. Elle tourna la tête vers Lorcan. Saleté de Gryffondor, il fallait qu’il pourrisse sa vie jusqu’au bout. En un éclair elle se jeta sur le blond et d’un coup de baguette fit cesser le feu. Elle prit toute la fureur qu’elle avait en elle pour faire tomber Lorcan à la renverse et se positionner au dessus de lui dans une position de domination. Avant qu’il ne puisse réagir elle referma ses fins doigts autour du cou du Gryffondor. Puis elle serra. Elle se rappela leur première rencontre et affermit sa prise. L’hirondelle en papier.. Le couloir.. La lune pale.. Le pendentif. Elle serra. Mais fut vite stoppée. Sa fureur ayant pris le dessus elle ne fit pas attention et fut projeter à l’autre bout de la salle contre un mur. Elle gémit tout en essayant de se relever. La partie était loin d’être finit.
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MessageSujet: Re: Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus)   Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus) - Page 2 EmptyDim 24 Oct - 9:32

La stupeur...c'était ce que je ressentais depuis ...depuis je ne sais plus combien de temps.
Combien de secondes ou d'années s'étaient elles écoulées depuis que je m'étais retourné vers Angela, que le prof nous avait ordonné de sortir de sa salle. Qu'Albus et Lysander avaient rit?
Je cherchais toujours à tout comprendre. en toutes situations, il me fallait des explications. Qu'elles soient rationelles ou non. Il me fallait des explications.
Où étaient elles, les explications, là? D'abord, la peur.
Un sentiment qui vous faisait vomir. Un sentiment pourri jusqu'a la moelle. La peur.
Ensuite, le sang. Albus. Les cris.
On ne pouvait se permettre de traiter les hommes en esclaves. On ne pouvait faire souffrir les hommes. Nous recherchions tous le bonheur, mais chacun s'acharnait à somber dans la souffrance. Chacun.
Pour fuir celà, nous usions chacun de nos propres stratagème.
Qu'est ce qui m'avait rendu asociable?
Le fait de voir ma maison brûler?
La fait d'avoir tuer un animal?
Le noir précédant l'incendie?
La kénophobie. Ou simplement, l'angoisse de la mort, du noir.
Je ne voulais pas mourir.
Quels étaient les hommes qui souhaitaient la mort? Les désespérés? Je ne crois pas...je ne crois pas être désespéré.
Lysander. Qui pouvait comprendre ,en dehors de nos binomes, ce que nous ressentions l'un pour l'autre? C'était un constant sentiment d'excitation. Comme marcher sur une corde raide. Et si l'un tombait, il se devait d'entrainer l'autre dans sa chute.
Qu'il soit ou non sur la corde.
Donc.
Si nous devions résumer?
Les hommes ont toujours, toujours, toujours besoin de rendre quelqu'un responsable de ses propres erreurs. Dans les incidents de la route, dans les meurtres, les souffrances.
Dans mon cas, j'hésitais entre Angela et moi.
Comme un sale con.
... Je m'en voulais. Mais je ne savait pas jusqu'a quel point, jusqu'a quel niveau. Je savais juste que je voulais reporter la faute sur quelqu'un. C'était nécessaire. Tellement nécessaire. Mais si futile, inutile...
Là, c'était percer la bulle. Recouvrer ses esprits.
Cela ne voulait pas dire perdre l'esprit.
D'abord analyser. chercher à comprendre.
Ses doigts cerclaient ma gorge. Je réagis.
Mon dos s'arrondit, je vrilla ma baguette et frappait de mes deux pieds dans son ventre, l'éjèctant. Je crois que ce fut le sortilège, pourtant, qui l'envoya le plus loin.
Je me relevais. Le souffle court, douloureux.
Il fallait qu'un oiseau meurt.
J'avais le choix. Non, je n'avais même pas le choix, c'était obligatoire. Lysander, je n'en avais plus rien à foutre.
Je marchais à travers la salle. C'était totalement obligatoire. Comme marcher dans un long couloir aux limites embrumés, marchant droit devant soi, jusqu'au bout, où une lumière nous appelait.
Philos. Aimer.
Sophie... Sagesse.
Où était la sagesse dans un combat? Celui de de respecter l'adversaire?
Bien sûr que non. Dans un combat, on souffrait. Faisait souffrir.
Je me plaçais face à elle. Je refusais d'agir comme d'habitude. Les hommes regardaient souvent les yeux. Moi aussi. Et là, on se retrouvaient confrontés à un unique sentiment. La haine, la tristesse, la colère, le désespoir...
Il ne fallait pas regarder que l'âme, sinon on ne voyait que les pulsions dévastatrices.
Le visage, le corps. C'était un Tout. Il fallait tout regardait, tout comprendre.
_C'est comme un livre.
Je murmurais. Mes yeux étudiaient chacun de ses mouvements. Comme...un traqueur.
_Essaie au moins une fois dans ta vie de comprendre ce que tu es. De te lire.
Je me levais.
_Là, c'est à moi de jouer.
Il fallait comprendre. Ou pas.
_Impero.
Une seconde.
Ce n'était...pas comparable. Rien, plus rien n'était comparable. C'était...
Une incroyable alchimie entre le Savoir. Et la Puissance. Mais...je ne pouvais juste pas le capter.
Il fallait que je domine. Il ne fallait pas se laisser ennivrer. Cela réduirait mon sort, mais je ne pouvais pas.
Je ne pouvais pas me laisser dévorer par la haine qui brûlait mon corps.
Il fut alors automatique. Se lever. Comme maitriser un animal particulièrement faible. En sachant qu'il ne peut rien vous faire. Parce que vous êtes bien plus fort. Voilà de quoi il ne fallait pas se laisser submerger.
C'était un sortilège Impardonnable.
Je comprenais enfin pourquoi il était Interdit. Parce que ressentir ce que j'avais toujours cherché...là, entre mes doigts...
_Debout.
Ma voix...elle était bizarre.
Je me mis à marcher. Juste quelques pas. Angela obeissait.
Comme un vulgaire pantin. Sans auncune volonté. Plus de volonté.
Ecrire sa vie. Etre écrivain.
Quel était le Dieu qui me tenait sous son Impero?
J'étais surpuissant. Pfff, quel manque de vocuabulaire.
J'étais écrivain. Dieu.
Je ne suis pas mégalomane. Je suis juste concret.
...
Ou en train de tomber sous le charme de l'Impero.
Ma respiration s'accéléra. Il fallait que j'annule ce sort. Immédiatement!
Mais une noirceur...une tentation ne cassa pas le fil.
L'accentua.
_Angela...
Mes yeux se posèrent sur elle. C'était chacun son tour. Nous goutions tout deux à l'ivresse. Que recherchait elle dans cette Puissance?
Je pouvais lui demander ce que je voulais. Tout, absolument tout obtenir.
Et je voulais voir jusqu'où j'étais capable d'aller. Me connaitre.
_Tu es capable de t'égrangler?
Un rire sadique naquit de ma gorge. Comme si...comme si elle avait le choix!!
J'étais hilare, totalement hilare!
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MessageSujet: Re: Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus)   Trois, deux, un, levez vos baguettes! (Pv Angéla, Lorcan, Lysander, Albus) - Page 2 EmptyDim 24 Oct - 14:21

    « Endoloris. »

    Tout s’effondra. Tout s’effondrait autour de lui. Plus rien n’avais d’importance à part lui. Egoïste? Non. L’instinct de survis… Le mot dansa devant ses yeux pendant une fraction de seconde, les « s » n’étaient plus qu’un sifflement sinistre, celui d’un serpent. Puis le choc arriva. Ce fut comme si un barrage avait céder et que le courant puissant envahissait chaque parcelle de son corps. Un barrage avait céder, déversant un flot de souffrance. Aveuglément, il ne sentait plus que la souffrance. Elle était partout, envahissait son âme, son corps, sa tête. Des images défilaient devant ses yeux fermés. Des images de mort, des images de souffrances, de mal. Ses plus grandes peurs défilait dans sa tête. Il ne pouvait retenir les gémissements qui s’échappaient de sa bouche, c’était trop. Il ne contrôlait plus rien. Plus rien du tout. Ses doigts se crispaient, s’accrochait avec force au sol dur, griffaient l’air avec impuissance. Son bras dont s’échappait encore beaucoup de sang ne bougeait plus, mais une douleur encore plus puissante que l’estafilade qu’il avait reçut de Lysander lui submerger le bras, il ne pouvait plus le bouger tellement la douleur était importante. Sa tête.. C’était comme si une explosion y avait lieux. Aucune pensées ne pouvait se concrétisait tellement la douleur était insupportable. Ses oreilles sifflaient. Plus rien autours n’existait à part lui et sa douleur. Il n’avait jamais subit ce sort.. Mais il comprenait pourquoi ce sortilège était dit impardonnable. On ne pouvait tenir plus de 15 secondes sans séquelles irréversible. Il fallait qu’elle s’arrête.. Huit secondes déjà qu’il se tordait de douleur à ses pieds, huit secondes qu’il gémissait. Une Neuvième seconde passa. Elle devait stopper ça si elle voulait encore pouvoir garder son statut d’élève de Poudlard. Elle devait cesser ça sinon c’était la santé d’Albus qu’elle exterminait. Toute sa vie à Sainte Mangouste? Il ne l’aurait pas supporté, mieux valait encore la mort. Il allait crier de l’achever ou d’arrêter ça tout de suite quand la dixième seconde s’arrêta. La douleur partie du corps du jeune homme. Il s’affaissa sur le sol froid, le souffle court. Les membres engourdis et douloureux. Son bras lui faisait extrêmement mal. Mais il devait se relever et stopper cette folie dévastatrice tout de suite. Il rouvrit les yeux mais la lumière était bien trop éclatante. Il cligna des yeux plusieurs fois avant de pouvoir distinguer quelque chose. La bataille continuait encore et encore. Angela s’était jeté sur Lorcan. Il devait se relever pour aider le jeune homme. Il devait.. Mais ses membres étaient bien trop lourd. Un frisson parcourut son dos et avant qu’il ne puisse comprendre quoique se soit, Angela fut expulsé à l’autre bout de la salle. Lorcan, calme d’apparence passa devant Albus sans s’en soucier, il se dirigeait vers Angela. Il n’allait pas se laisser faire. Albus rassembla toute ses forces et réussit à se redresser avant de se mettre debout. Tremblant de tous ses membres il réussit à se maintenir grâce à une table qui n’avait pas encore subit la colère des jeunes sorciers. Il devait stopper ce massacre, cela ne rimait plus à rien. C’était partie de quoi? De la tension accumulée, il avait fallut d’une phrase et de quelques ricanements pour que la discussion se transforme en champs de bataille. Il devait Stopper là. Il se concentra, ne voulant se laisser tomber à terre à bout de force. Il devait arrêter de se battre, ça ne servait à rien. C’était inutile et ne réglerait pas les questions.

    « C'est comme un livre. Essaie au moins une fois dans ta vie de comprendre ce que tu es. De te lire. Là, c'est à moi de jouer. Impero. »

    Albus essaya de se tourner vers Lorcan, non il ne devait pas se laisser dévorer par la haine contre cette vipère. Pourquoi avait-il lancé un sortilège impardonnable? Albus comprit que tout ce qui s’était passé, et qui continuait de se passé dans cette salle devrait rester dans cette salle, entre eux quatre. Il le devait pour le bien de chaque personne présente ici-même. Il se tourna avec difficulté, ses jambes tremblait, il était à bout de force, il devait pourtant essayer de raisonner Lorcan. Ne pas faire quelque chose qu’il regretterait.

    « Debout. Angela... »

    Quelque chose allait arriver, l’intonation de la voix de Lorcan semblait Sadique, irréelle. Il devait stopper cela tout de suite.

    « Tu es capable de t'étrangler? »

    Albus étouffa un cri, sa on aurait dit qu’il n’avait pas parler depuis une semaine, il n’arrivait pas à sortir de son, il était fatigué, tremblant. Il souffrait. Mais Lorcan ne devait pas aller au bout de sa pensée, il devait l’empêcher. Mais comment ferait-il, il n’avait plus de force, et plus de voix. Impuissant il vit Angela passer ses mains autour de son cou, son regard était vide. Quand ses mains commencèrent à serrer elle esquissa une grimace de douleur. La peur passait dans son regard, un peu de peur, mais surtout de la rage, beaucoup de rage. Une colère grandissante de secondes en secondes. Elle essayait d’empêcher ses mains de l’étrangler, mais c’était impossible, pas sous l’Impero. Ses ongles griffaient sa peau blanche désespérément, du sang commençait à couler lentement de ses griffures. Puis, elle ne bougea plus, ses yeux se fermèrent et elle tomba à terre. Immobile. Evanouie.. Albus assista impuissant à la scène. Il puisa dans ses dernière force et aligna ses pas un à un en se dirigeant vers Lorcan. Il devait le calmer.

    « Lorcan.. »

    Sa voix était enrouée, faible.

    « Lorcan, arrête ça. Tu ne sais même plus pourquoi tout cela à commencer, c’est insensé! Reprend toi mon vieux! Tu n’auras pas de réponse en l’achevant. »

    Albus arriva enfin face au blond. Il esquissa un tout petit sourire.

    « Et puis, tu ne pourras même plus continuer de faire des conneries avec moi dans les couloirs de Poudlard si tu continues. »

    Il se tourna vers Angela et avec un soupire d'exaspération continua.

    « Il faut l'emmener à l'infirmerie. »

    Il se tourna ensuite vers le Serpentard.

    « Lysander, ça ira? »
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Je m'affalais au sol. C'était impossible, absolument impossible. Lorcan se...Lorcan se ...
Un éclair de souffrance déchira mes poumons. Je jetais la tête en arrière, dans un cri de souffrance, m'assommant moi même.
La vision flou, dans une palette de couleurs spectrale, rouges, noires, sombres...
Albus...tu saignais.
Rageur, je regardais mes doigts. Blancs...c'était...bizarre.
« C'est comme un livre. Essaie au moins une fois dans ta vie de comprendre ce que tu es. De te lire. Là, c'est à moi de jouer. Impero. »Impero.
...
Noooooon?????
Je me relevais, les yeux effarés! Non non noooon!!!! Il ne fallait pas!!!! Lorcan! Ouvres ton esprit espèce de con! tu sais très bien ce qui va arriver si tu t'énerves! Il fallait que je bouge! Que je bouge bon sang de bon sang de bon saaaang!!!!!
« Debout. Angela... »
Merde! Ca allait beaucoup trop vite! Je me levais, mon genou se mit à trembler avec une violence qui me fit chuter au sol. Merrrrrrrde!!!
Je ne pouvais plus parler à Lorcan! Son esprit était beaucoup trop concentré sur la cible de sa colère; il était complemetement obsédé! Et quelque chose d'horrible arrivait!
Albus se leva, tremblant de partout. Je le regardais, ahuri! Taré, taré, taré! T'approche pas, bon sang!!! Tu viens de te prendre un Endoloris en pleine gueule! Mais bouuuuge!!!!!!Albus!!
« Tu es capable de t'étrangler? »
Non mais arrête je t'en prie! Lorcan!!!
Angéla leva ses mains pâles jusqu'a son cou, possédée, et en même temps, terriblemnt consciente. C'était un martyr, un martyr horrible, comme celui qu'elle avait infligée à Albus.

« Lorcan.. »
Albus...
« Lorcan, arrête ça. Tu ne sais même plus pourquoi tout cela à commencer, c’est insensé! Reprend toi mon vieux! Tu n’auras pas de réponse en l’achevant. »

Il n'y avait pas de Bien, ni de Mal, juste une Justice. Celle de Lorcan.

Albus arriva enfin face au blond. Il esquissa un tout petit sourire.

« Et puis, tu ne pourras même plus continuer de faire des conneries avec moi dans les couloirs de Poudlard si tu continues. »

Il se tourna vers Angela et avec un soupire d'exaspération continua.


« Il faut l'emmener à l'infirmerie. »


Il se tourna ensuite vers le Serpentard.

« Lysander, ça ira? »

Je tremblais de tout mes membres. Non, je n'allais pas bien. Je venais de voir Lorcan détruire notre lien, pour le reconstruire en une seconde. Je venais de comprendre que je n'étais rien d'autre que son ainé, qu'il était monstrueusement plus puissant que moi. Infernal!
Je me levais, les yeux effarés, et d'une démarche tremblante dépassait Albus, les yeux rivés sur Lorcan.
Je prit sa baguette. Et le gifla magistralement.
_Sale taré!!!!!!
Je venais de récupérer toute mon énergie, et je mourrais d'envie de fracasser son petit visage contre le sol!!! Mais j'étais un mec zen. Très zeeeeeeeeeen...
_Albus...
Nous sortions en silence de la pièce. Laissant derrière nous une dispute.
Devant nous, s'ouvrait une chose encore plus monstrueuse. Qu'alait il se passer?
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