Nom, Prénoms : Opium, comme la drogue qui pervertit, Echinatum comme un coquillage un petit coquillage, comme une boîte de Pandore à ouvrir et Delorbeby, la grande famille Delorbeby ...
Date de naissance : 14 Février 2007
Age: 15 ans, les B.U.S.E.S approchent
Année Scolaire: 5ème année
Maison choisie: La maison Tagada!Don't know
Baguette : 19cm en bois de rose, crin de Kelpy.Rapide mais peu maniable.
Patronus : Guépard
Epouventard : Moi même le regard médisant, rongée par la folie du meurtre.
Animal de compagnie : Un lapin blanc: Tichobrae
Avatar choisi : Natalya Piro

Caractère :

Mon caractère, une sale affaire ! Remarque c'est très utile, au moins je me laisse pas faire ...
Je ne sais pas par où commencer, disons par le pire: mes défauts car oui j'en ai! Je suis malgré mon apparence longiligne une grande gourmande. Je suis pliée aux ordres de mesdames sucreries depuis ma plus tendre enfance et cela ne fait qu'empirer. En particulier les fraises Tagadas, je suis dépendante mais pas de l'Extasy, dépendante d'Haribo, c'est crétin je vous l'accorde. C'est peut être une manière curieuse de passer le temps ou de déstresser, moi qui suis pourtant naturellement si calme et douce. Je suis une tête de mule et je modère mes propos. Imaginez bien, moi sale gamine de quinze ans entrain de tenir tête aux professeurs de Poudlard ? Oui je suis suicidaire mais j'aime l'auto destruction.

Je suis anticonformiste, j'affirme mes convictions qu'elle plaise ou non, je n'ai qu'un avis le mien. Impartial, oh oui je rêve déjà de vous affronter verbalement. Dans ma tête c'est véritablement l'anarchie, ca se bouscule, rien n'a ni queue ni tête, ni début, ni fin: un seul mot HELP ! Je suis du genre avoir le "franc parler". Pas toujours très délicat dans ma façon de penser, je dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Voila un de mes grands problèmes, je ne sais pas nuancer ce que je dis, débattre avec moi revient à se prendre une claque mental, âme sensible s'abstenir. J'ai la tête dur, à force des conversations certains se sont décidés à m'éviter, prétextant que me parler c'était tout comme parler à un bloc de glace, un bloc de glace en ébullition.

Ce caractère pour le moins facétieux provient je crois de mon hyper activité pour la moins prenante. Oui, alors que j'avais six ans mes parents ont consulté et se sont rendus compte que j'étais victime de sur activité. Avec le temps cela devrait passer disait les médecins mais j'ai l'impression que ca empire de plus en plus. Autre désagréments de cette maladie je suis par pierre de coup insomniaque. Je dors peu, et comme on pourrait l'imaginer tout cela a des conséquences sur ma vie de tous les jours. Ce manque de sommeil pesant se salve souvent par des migraines de fortes intensités. Comme des coups de marteaux qui ne cessent de vous molester, tête, pauvre tête.

Je suis aventurière, je relève beaucoup de défis, je gagne souvent pour ne pas dire jamais, non je n'ai pas froid aux yeux. Tout le monde aime la victoire moi elle m'est nécessaire, oui je suis mauvaise joueuse, oui je déteste perdre mais allez dire ça à un Delorbeby, chez moi la victoire c'est naturelle. Quand on parle de ma vie d'ailleurs, je n'ai jamais raconté les conflits qui m'opposaient et m'opposent avec mes parents. Je garde tout ça pour moi, tel un grand jardin secret. Mais le problème c'est qu'au fil des années j'ai appris à ne rien divulguer, à force de tout garder pour ça on implose et c'est ce qui m'arrive je n'y arrive plus, je ne peux plus emmagasiner toutes ces choses désormais.

Alors je conserve mon calme bien que je sois plus qu'impulsive. Si l'on me compare ce serait à un volcan, un volcan en éruption. Je peux facilement m'énerver pour un rien, mais tout cela dépend des personnes qui me provoquent. Si ce sont des amis ou de bonnes connaissances je ne dirai presque rien, si ce sont des ennemis je n'hésiterais pas à relancer de plus belle le sujet. Bien sûr vous l'aurez deviner l'autorité et moi ça fait deux. Je suis insolente et j'ai surtout un certain mépris pour les règlements. En fait je ne comprends pas pourquoi je devrais respecter plus les personnes âgées que les autres. c'est vrai c'est idiot cette hiérarchie selon l'âge de la personne ! Malgré tout je ne suis pas arrogante, je sais ou est ma place, je sais reconnaître la défaite. Je hais l'orgueil et je m'oblige à ne jamais en faire usage mais on ne peut pas m'en vouloir d'avoir un peu de dignité.

J'ai une personnalité bien à moi et je ne la changerais pour rien au monde. On m'a conseillé de changer mais je ne l'ai pas fait. Non je ne vis pas pour être aimer ...

Pour ce qu'il reste de mes qualités elles sont simples. Je suis toujours souriante ou presque, je n'aime pas faire supporter aux autres mes problèmes. C'est une de mes règles d'or, avoir la pèche et le faire ressentir aux autres. J'ai un jugement assez arrêter de la vie ,mais je peux être ouverte au monde bien que cela reste rarissime. Je suis aussi très protectrice envers mes quelques amis, j'ai mis du temps à les trouver, je ne vais pas les lâcher de si tôt, croyez moi !

Principales Qualités: Battante, aventurière, pétillante, étrange, drôle.
Principaux Défauts: Gourmande, impulsive, têtue, froide, hyperactive.

En plus: Si l'on compte le nombre de fois ou j'ai déjà pleuré elles seront au petit nombre de deux: à sa naissance et quand à ses six ans j'ai compris que jamais mes parents ne voudraient vraiment de moi.

Physique :
Je hais me décrire alors pour une fois je vais laisser ma "créatrice" parler.
Opium c'est véritablement le physique de l'Irlandaise type. Elle possède de longs cheveux acajou cascadant sur son dos frêle, portant sur une rangée de cils fins de l'exacte même couleur que ses cheveux. Un visage de porcelaine, une peau diaphane qui ne prend que très rarement un teint halé; elle évite par ailleurs le soleil, et des pommettes roses clairs qui font encore plus ressortir ses yeux gris en forme d'amandes ou juste à côté se cache une rangée de petits grains de beauté imperceptible. Un front où semble se cacher comme une couronne de soleil, un petit nez à la pointe légèrement recourbée et une bouche plutôt pulpeuse d'une couleur cerise bien prononcée qui, lorsqu'elle sourit, cache de petites fossettes. Et des minuscules tâches de rousseurs qui ne se comptent que par dizaines. Une allure désinvolte et un corps longiligne dont l'apparence encore enfantine triomphe sur les désagréments de l'adolescence.

Une bouille qui trahit entièrement son caractère, on l'a prend souvent pour une fille fragile et lunatique mais c'est tout le contraire. De loin elle fait souvent plus âgée, faute de son mètre soixante quinze et de sa carrure mince. Elle n'a pas les formes les plus avantageuses qu'il faut s'imaginer ,mais elle reste quand même harmonieuse. C'est une jeune fille au physique filiforme qui cache possiblement sa réelle force.

En ce qui concerne mon style vestimentaire j'opte pour des tenues confortables et assez excentriques sans entrer dans le ridicule. J'aime bien me différencier des autres, m'habiller comme je le sens sans suivre les lois de la mode. Je porte de toutes les couleurs même si j'ai un petit faible pour les teintes bleutées. J'aime bien dénicher de vieux rogatons dans les brocantes ou autre. Ca contraste vraiment avec mes origines aristocrate mais ce côté de "rebellion" qu'il soit vestimentaire ou caractérielle provient de la haine envers mes parents. Comme unique bijoux ( ou presque ) je porte un médaillon en argent crée par ma famille lors de ma naissance, à l'intérieur de celui ci se trouve un minuscule tableau de mon visage peint lorsque j'avais quatorze ans et un autre minuscule tableau de l'autre face du médaillon ou est peint Liam quand il avait lui aussi 14ans.

Signe particulier: Deux grains de beautés absolument symétrique dans le bas de son dos. Elle ne regarde jamais personne dans les yeux.

❝ Dieu m'a dit lève toi et marche, je me suis levée et j'ai marché ...❝

14 Février 2007, Oxford.

Un cri strident s'échappe de la chambre trois cent vingt de la maternité de Boston. Je viens de naître, oui moi, tout petit bébé âgé seulement de quelques secondes. Mes poumons se libèrent et moi comme seule réaction je pleure, une petite prématurée de quelques semaines encore toute chétive. La sage femme me dépose dans les bras de ma mère avec un air satisfait. Pourtant ce n'est pas de la satisfaction qu'on peut lire sur les yeux d'Elizabeth Delorbeby. Pensez vous, une fille, quelle drame pour la famille Delorbeby, eux qui auraient tant espéré avoir un autre petit garçon. Oui j'ai un frère, il se nomme Liam, il a six ans de plus que moi et ne s'attend pas à ce que je vienne perturbe sa vie de petit Lord. En effet, mon père est député à la chambre basse d'Angleterre, ca me fait un rang de plus à tenir ...

Sans m'adresser un regard ma mère déclare simplement:

« Opium, ce sera Opium ... Oui un joli nom de fille de Lord. »

Elle n'en a pas l'air mais intérieurement elle songe, elle sait déjà d'avance que je serais un poison pour elle, un terrible poison. Un prénom de drogue pour une enfant si innocente ca ne peut annoncer que du malheur, croyez moi.

Quelques jours plus tard, j'arrive dans une petite voiture au domaine Delorbeby. Accompagnée de mon adorable gouvernante, Felize. Elle, elle me regarde d'un air émerveillé, je suis encore toute petite mais déjà très remuante, c'est dire, pendant l'accouchement de ma mère je suis sortis si vite que les médecins ont loupé de peu de me faire tomber: une chute qui m'aurait été fatale. Bref, Felize s'avance timidement vers mes parents. Planté comme un piquet malhabile mon père William regarde l'horizon avec un air fier. Il est plutôt bel homme mon père, un grand brun aux yeux verts, le type Anglais me dirait vous. Il a tout juste trente ans tout comme sa femme. Haute d'un petit mètre soixante cinq ma mère croise les bras avec un regard médisant, des petits yeux de cheval et un coup trop long pour une si petite femme. Elle garde ses cheveux en un chignon stricte: j'ai jamais compris pourquoi mon père avait épousé une telle horreur.

Liam débarque en courant à côté de Felize. Il appuie machinalement ses mains sur son ventre, le sport et en particulier le football ca épuise. Il relève le visage avec un sourire radieux. Il a toujours eu des yeux magnifique Liam, quand on plonge son regard dans le sien on a l'impression de chavirer en pleine mer indienne. Moi de mon côté, je me débats frénétiquement dans le petit voile blanc qui me sépare des bras de Felize. Mon père sursaute, à croire qu'il rêvait, c'est quand même curieux de flotter sur un nuage quand un enfant et en particulier le sien vient de naître! Il décroise ses mains qui se trouvaient derrière son dos et se penche vers moi. Il soupire comme pour se féliciter, non sa fille n'est pas tout à fait un monstre. Enfin j'espère que je ne suis pas un monstre du moins. Remettant une de ses mèches de cheveux en place il se décide enfin à prendre la parole:

« Felize, voulez vous bien accompagner cette jeune fille dans sa chambre. »

La gouvernante acquiesce mon père en le qualifiant d'une petit révérence et se met en marche vers ma chambre. Non mais surtout n'éclatez pas de joie! Je suis votre fille, je viens de naître j'aimerais juste un peu de considération si c'est possible! Dommage que les bambins ne peuvent pas parler ni s'exprimer vraiment sinon je vous jure que mes parents s'en seraient pris de toutes les couleurs. Ma mère fait signe à Liam qu'il peut de nouveau aller jouer et mon père retourne à ses occupations, en l'occurrence son travail. Parlons un peu de cette maison ou plutôt de ce château. Oui parce que la villa Delorbeby comme on l'appelle ce n'est pas un petit cagibi. Un petit château qui s'étend en longueur d'une couleur blanche écarlate. Un jardin d'une superficie d'à peu près deux hectares ou chaque centimètre carrée est passé au peigne fin. Les jardins à l'Anglaise vous connaissez ? Et bien c'est la dedans que j'ai été élevé!

Pour en revenir à moi, car malheureusement pour vous je suis le sujet principal de discussion ici! Après un effort conséquent Felize arrive enfin devant ma chambre, elle pousse la porte de chêne qui s'établit devant elle et entre dans la dite pièce. Tout a été prévu pour mon arrivée, un berceau aux barreaux blanc, une petite commode pour ranger mes affaires, une petite bibliothèque et des protections pour enfants aux fenêtres qui empêchent de les ouvrir de trop, on sait jamais que je veuille fuir avec mon trotteur! Bientôt je sens une sorte de couverture m'enrouler et je me retrouve dans mon lit, avec au dessus de moi le visage de Felize qui me sourit. Elle est plutôt bien conservée pour son âge Felize, elle a cinquante ans mais garde ses cheveux noirs de la même couleur et ses yeux reluisent toujours autant. Elle s'en va un peu plus loin pour dépoussiérer ma bibliothèque, je la suis curieusement du regard. Mes paupières se ferment petit à petit puis je m'endors dans un rêve, précieux rêve ...

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❝ Sans armes sans larmes, pauvre et dérisoire armes, parce qu'il est des douleurs, qui ne pleure qu'à 'intérieur ...❝

23 Juin 2016, Oxford.

Un rayon de soleil doré s'échappe d'un volet de ma chambre. Moi pour l'éviter je me replonge sous la couverture de mon lit. Il est à peine huit heures et demi et dans la villa Delorbeby règne un silence presque religieux. Au loin on peut discerner quelques bruits de casseroles, Felize prépare des pancackes alors que tout le monde dort. J'ai toujours adoré la cuisine de ma gouvernante, même si avec le temps ca devient de plus en plus difficile pour elle de la faire, des heures de travail trop importante pour une seule femme, surtout quand elle a près de cinquante neuf ans. Liam toque bruyamment à ma porte, bizarre tient, lui qui d'habitude se lève toujours à des heures bien plus avancées. Je m'extirpe de mon lit en me frottant les yeux et va lui ouvrir.

« Allez petite sœur, debout! On va aller essayer mon nouveau scooter !»

Il me regarde des ses yeux bleus et me saute dessus, je me débat en riant, il a toujours été très gentil avec moi Liam. Je sors de ma penderie un pantalon et un tee shirt. On est en été, pas besoin de vêtements trop chaud. Je lui fait signe de se retourner avec un air autoritaire. Il s'exécute avec un sourire en coin. Des filles nus de son âge il a du en voir défilé mais moi je suis quand même sa sœur! Je m'habille rapidement puis lui saute sur le dos. Il faut dire qu'à neuf ans je n'étais pas bien lourde. À nous deux on dévalent les escaliers de marbre. Mon frère il a beaucoup changé depuis notre première rencontre à la villa Delorbeby. Il a grandit, il s'est forgé un petit caractère pour répondre aux parents et puis surtout il est devenu un vrai ado! Mais malgré tout il reste toujours aussi présent pour moi bien qu'il sorte beaucoup plus souvent.

Nous arrivons devant la cuisine ou Felize dresse la table. Chacun de nous deux attrape une de ses délicieuses crêpes. Je dépose un baiser sur la joue de ma gouvernante et me remet sur le dos de Liam, mon fidèle destrier. On sort rapidement de la maison, d'ici je vois tout de plus haut, en quelques minutes j'ai gagné un mètre quatre vingts! Dans le jardin les jardiniers nous font signe pour nous saluer et moi je leur renvoie leurs révérences. Les serviteurs d'ici ne se comportent pas du tout pareil avec Liam et moi qu'avec nos parents. Quand ma mère est la ils se figent tous et effacent tout sourires de leurs visages. C'est dommage d'avoir peur d'une aussi petite femme, petite et insignifiante. Je me retire de cette pensée et revient au sujet présent.

Après quelques mètres de courses acharnées nous parvenons devant le portail de la villa Delorbeby. Liam enclenche la poignée de la porte qui s'ouvre automatiquement. C'était presque jubilatoire de savoir que je pouvais enfin sortir un peu de cette prison. Mon frère lui, pouvait aller ou il veut quand il veut mais ma mère avait bien plus d'autorité avec moi. Alors vous imaginez, moi âgée de seulement neuf ans j'allais pouvoir profiter d'une ballade en plein air avec mon frère, que demander de plus! Nous nous avançons prudemment vers le petit bolide, elle est plutôt jolie son horreur à roulette. Noir principalement avec de petite poignée de l'exacte même couleur que les sièges pour les passagers. Je pressens deux mains qui me porte et quelques secondes plus tard je me retrouve sur la partie arrière du scooter de Liam. Il me rejoint rapidement avec un air de gamin qui vient de s'acheter un nouveau jouet. Il faut le dire, il est vraiment drôle mon frère.

« Accroche toi bien, Pium !!»

Il se tourne vers moi avec une moue maline, j'ai toujours détester ce surnom: Pium. On dirait que je suis rien qu'un petit piaf quand on dit ca, remarque Edith l'était bien, elle...
Liam enclenche le moteur de sa moto, comme unique réflexe je m'accroche à son dos de mes petites mains. Je suis obligée de me tenir à son tee shirt parce que je suis trop petite, SOS un rallongement de bras SVP. Ça y est c'est partit, mes cheveux volètent dans le vent, je n'arrive qu'à peine à ouvrir les yeux avec tout le vent qu'il y a ici. Il fait très beau, le soleil nous aveugle de toute sa lumière, quelle belle journée d'été. Puis tout à coup on glisse, je sens mon grand frère se détacher de moi, je suis balancée à quelques mètres du véhicule. Au contact violent du goudron mes poumons s'emballent, je n'arrive plus à respirer. Je suffoque intérieurement mais je n'arrive rien à dire. Je reprends mon souffle petit à petit et lève douloureusement mon visage. Je suis blessée au bras, je saigne un peu mais rien de grave.

« Grand frère! Grand frère! J'ai rien, allez arrête de te cacher. »

Je le cherche du regard mais ne le trouve pas. Je m'avance un peu plus sur la route et au loin je vois le scooter de Liam. Je le rejoint le plus vite possible en boitillant. Je passe la tête par dessus la mobylette, il est la. Je m'agenouille à côté de lui avec la respiration coupée. Il saigne, il saigne beaucoup. Moi comme je sais pas quoi faire je pose mes mains sur son tee shirt maculée de gouttes de ce foutu sang. Mes mâchoires se serrent, non pas lui, non, il peut pas mourir grand frère, il est la dernière personne qu'il me reste au château. Il me regarde de ses yeux luisants, et approche douloureusement sa main de la mienne. Il me murmure de pas pleurer mais moi j'ai du mal à tenir, sa prise se resserre sur mon bras, il s'exclame un petit cris de louveteau affamé et finis par s'endormir pour une escale éternelle ...

Mon corps se figent, je voudrais bouger mais je n'y arrive pas, aucun son ne sors de ma bouche mais intérieurement je me débats, je tape contre les parois épaisse de cette carcasse de chair. Un bruissement de voiture se fait entendre au loin. Moi trop préoccupée par Liam je ne l'entend même pas. Je dépose ma tête sur son épaule renversé et je reste, la accroupit dans un tourbillon de pensée. Sans que je le sache, l'automobile tourne la route et vint vers moi à une grande vitesse. Je rehausse le visage et voit sur moi cette voiture arrivé. Je cris et me recroqueville contre grand frère, comme si ça allait beaucoup me protéger. Le conducteur s'exclame à son tour et enclenche son frein à main. La voiture s'arrête brusquement avec à l'intérieur un vieil homme tout chamboulé. Il sors de son véhicule et s'approche de moi:

« Eh ! Petit, 'faut pas rester au milieu de la route comme ca! »

Il me sourit chaleureusement et moi comme seule signe d'intérêt je lui porte un regard catastrophé. Il passe à son tour les yeux par dessus le scooter et vois, la dépouille de Liam. Il inspire un grand coup et me regarde ensuite en déposant une de ses mains sur ma petite épaule en signe de compassion. Moi je secoue l'épaule en l'évitant. Il sort une sorte de téléphone de sa poche de manteau et compose le 999. Ça sers à rien, il est mort, ca y est il est mort. Et moi je suis vivante, moi petite fille chétive de neuf ans j'ai survécu à un tel accident alors que mon frère bien plus résistant est mort, vous trouvez pas ça un peu étrange vous ? C'est pas rationnel, non pas du tout ...

Je ne sais pas combien de temps je suis restée près de lui sans bouger ni parler. J'avais perdu toute notion spatio temporel, je me croyais encore le matin quand vers midi les policiers sont venus le chercher. J'ai crié, oui j'ai beaucoup crié, je ne voulais pas qu'on me l'enlève des bras, je me suis débattu mais contre un homme qui me sure près d'un mètre quatre vingt cinq je n'avais aucune chance. Ils l'ont emmené dans une voiture affreusement noir. Liam il aurait pas aimé ce genre de voiture, non il préférait le bleu par exemple. Mais ca ils s'en foutaient les messieurs policiers. Ils m'ont demandé si j'avais envie de leur parler, je leur ai répondu méchamment « J'ai l'air d'avoir envie de parler? » Oui pour neuf ans j'avais déjà un sacres petit caractère et ça ce n'était que le début. Je ne souhaitais qu'une chose, que Liam revienne ...

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❝ La vie me sied mal, qui sait la mort m'ira peut être mieux ...❝

8 Mars 2017, Oxford.

Ça fait presque un an aujourd'hui, mes parents ne me l'ont jamais pardonné. Pensez-vous perdre son unique héritier de fortune masculin pour une famille de l'aristocratie on nomme cela la honte. L'enterrement s'était passé dans l'intimité la plus secrète. Ma mère s'était forcée à pleurer pour qu'on compatisse à son malheur, la vieille peau. Papa lui n'était même ps venu, il avait trop de travail et moi j'avais apporté en guise de fleurs une petit marguerite à grand frère. Il avait toujours adoré ses fleurs. Il avait rejoint le caveau familial, celui que j'aurais du rejoindre à sa place, celui ou mes parents iraient eux aussi par la suite. Tout état redevenu normal dans la villa Delorbeby mais moi je gardais encore le souvenir de sa dépouille qui me murmurait « Pleure pas petite soeur. ». J'avais soudoyé maman pour que je puisse reprendre quelques affaires de Liam. J'avais ainsi récupérer un de ses stylos qu'il avait eu pour ses quatorze ans, un magnifique stylo. Je ne me réservai que rarement le droit d'écrire avec.

J'avais également pris son ouvrage sur Alice au pays des merveilles qu'il avait dédicacé de toute part. Drôle d'histoire que d'une petite fille comme elle, je le lis parfois, quand je suis trop triste. Le reste c'était son sweat fétiche que je porte chaque dimanche pour énerver maman, il aurait aimé ça lui, voir la vieille peau s'énerver contre moi et me courser dans tout le château en vain car il faut le dire je cours très vite. Bref, tout avait repris son cours ici hormis quelques évènements bizarre qui se produisait lors de mes disputes avec mes parents. La dernière fois je m'étais emporter et sans que l'on sache comment ça c'était produit une ampoule éclata dans la cuisine: résultat, j'ai passé une soirée sans aucune lumière à ne pas pouvoir manger le délicieux repas que Felize nous avait concocté. Une autre fois ma mère m'avait enfermé à clé dans ma chambre à cause d'une histoire d'insolence, j'ai donné un coup de pied dans la porte et elle s'est ouverte comme par magie. Dites ce que vous voulez mais les portes de la villa Delorbeby c'est du chêne et croyez moi ce n'est pas à la portée dune gamine de dix ans de les défoncer!

Donc nous voila le matin du huit mars mille neuf cent quatre vingt quatorze, il est neuf heures et demi du matin et comme à mon habitude je descends les escaliers de marbre glacé. J'arrive dans la cuisine en me frottant le front, oui encore une migraine se propage dans mon petit esprit d'enfant. Une fois encore j'ai mal dormi, je l'ai refais ce cauchemars ou je le vois, lui, avec ses yeux bleus intenses qui me fixent. Felize m'accueille avec un sourire chaleureux, je lui rend le sien et vient m'asseoir à table. Elle me verse on petit déjeuner dans mon assiette puis repart à ses tâches. Un jour ou l'autre il faudra qu'on emploi une autre gouvernante, parce que la pauvre Felize elle a trois métiers: femme de ménage, femme de chambre et gouvernante et tout ça en étant payer à bouchée de pain. Je portai mon vers de jus de fruit à la bouche quand la sonnette retentit. Je sursauta en manquant de peu de faire tomber mon verre.

Qui pouvait nous rendre visite ainsi un dimanche? Maman n'avait pas d'amis à recevoir aujourd'hui et papa serait déjà levé s'il devait voir quelqu'un. J'ouvris la porte et demanda à un serviteur qui attendait devant le portail d'aller ouvrir. Au loin deux hommes s'avançaient, au fur et à mesure je pu de plus en plus les contempler. Il y en avait un légèrement grassouillet, petit d'un mètre cinquante cinq et qui était habillé d'une étrange cape verte bouteille. A côté de lui se trouvait un grand homme à la peau matte, il portait lui aussi une cape mas d'une couleur bleu turquoise et était coiffé d'un chapeau de l'exacte même couleur. Des vêtements pour le moins saugrenue pour un habit de dimanche, tout cela ne présageait rien de bon. Ils arrivèrent enfin devant moi qui tenait la porte par la main, j'étais encore en pyjama mais c'est tout comme si je m'habillai comme eux!

« Bonjour! Tu dois être Opium, n'est-ce pas ? J'aimerais parler à tes parents s'il te plait. » dit le grand homme à la peau matte.

Mes yeux se transformèrent en de grosses billes, comment se faisait - il qu'il connaissait mon prénom ? Il faisait partit des service secrets, ne manquerez plus que ça ! Je pris un air plutôt sûre pour ne pas montrer ma perplexité:

« Oui c'est moi, je fais les chercher attendez ici. »

J'enjambai les marches qui menaient à la chambre de ma mère. Elle n'allait pas être contente, elle détestait être réveiller de bon matin. Surtout si c'était pour discuter avec des excentriques de ce genre, oui elle n'aimait pas tout ce qui sortait de l'ordinaire, elle aimait le terne, la neutralité et la discrétion. Maman avait toujours été persuadé qu'elle possédait une classe sans pareil, c'était tout le contraire et c'était bien drôle de la voir jouer les femmes du monde. Je toqua à sa porte et lui dit simplement qu'elle était demandée. Sans plus attendre elle s'habilla en quatrième vitesse d'une de ses plus belles robe de chambre et s'attacha rapidement les cheveux. Elle me poussa et descendit gracieusement les escaliers, enfin aussi gracieusement qu'un flamant rose en rut c'est ca qu'il fallait préciser. Elle alla à la rencontre des deux messieurs en les saluant d'un air pincé.

J'ignore combien de temps ils ont parlé mais ça me parut excessivement long, j'attendais caché dans un coin de la salle à manger. La raison pour laquelle je les espionnai était simple, il parlait de moi oui de moi. Mon prénom était ressortit plusieurs fois dans la conversation et ce n'était sûrement pas une coïncidence. Le petit homme grassouillet donna finalement une lettre cachetée à ma mère et tous deux s'en allèrent. Une fois les deux inconnus disparus un silence régna dans la villa Delorbeby. Ma mère resta figée sur le canapé un bon moment puis m'appela. Je m'exécuta bêtement le regard baissé, pour une fois je n'avais rien fait j'en été persuadée. On ne pouvait pas m'en vouloir pour ne serait - ce quelque chose.

« Tu veux vraiment me pourrir la vie sale môme! »

Sa main glacée s'abattit violemment sur ma joue. Elle me prit par le haut de mon pyjama et me secoua en tous sens. Moi je lui tenais la main en tentant de lui faire mal mais elle semblait ne rien ressentir. Je réussi à me dégager de sa prise et je tomba sur le parquet. Elle, sans m'adresser ne serait - ce qu'un coup d'œil me balança la fameuse lettre sur la tête. Je croisa les bras au dessus de mon visage pour me protéger. La vieille peau me hurla de l'ouvrir immédiatement. Je la foudroya du regard puis ouvrit le léger boût de papier:


Mlle.Opium E. Delorbeby,

Vous venez d'être accepter au prestigieux collège de magie Poudlard en qualité que sorcière de premier cycle. Étant une née moldu cette lettre vous sera donné en main propre par deux de nos représentants. Nous sommes heureux de pouvoir vous accompagner durant ces sept années dans le but de vous faire apprendre les rudiments de la magie et plus encore. Dans l'espoir que ce nouveau collège vous plaira. Vous devrez vous munir d'une liste de matériel se trouvant ci dessous ...


Bien Cordialement,


Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore.


Je relus une deuxième fois la lettre pour être sure de ne pas avoir rêver. Au début je n'y croyais vraiment pas mais quand j'ai relevé la tête et que j'ai vu la mine dépitée de ma mère j'ai compris que tout n'était pas n'importe quoi. Je rangea précautionneusement la parchemin dans son enveloppe. Alors ca y est, j'étais une sorcière. Ça expliquait beaucoup de choses évidemment, l'accident, les ampoules, la porte ...
Mais ça expliquait aussi autre choses, mon père s'était tromper, j'étais bien un monstre.

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❝ La vérité d'aujourd'hui n'est pas celle de demain, il me reste une peu de temps pour devenir quelqu'un de bien ...❝

12 Septembre 1994, Poudlard.

Les bougies éclairaient timidement nos visages ravis. J'avançais dans la petite barque qui me menait vers Poudlard, autour de moi une poignée d'autre minuscule navire se dirigeaient comme par magie vers l'immense château. Bien que certains l'eurent niés on en été tous au même point, Poudlard émerveillait mais Poudlard faisait peur. Pensez vous, nous allions être l'hôte du plus prestigieux domaine d'Angleterre pendant cela un an et nous étions des mômes qui ne savaient rien de la vie. À ma place vous auriez été nerveux, c'est tout à fait naturel. À mesure que je me rapprochais de Poudlard un sentiment d'excitation m'envahissait. Depuis toute petite je n'avais quitté la villa Delorbeby que quelques fois lors de simple visites. Un an, une année entière sans avoir à supporter le visage chevalin de ma mère ni la mine honteuse de mon père autant dire que j'allais profiter de cette nouvelle maison. Je déposa délicatement une de mes mains sur le ras de l'eau, elle était glacée, et pourtant j'aurais aimé plongé. Je me voyais déjà, grelottant de froid, les jambes inertes dévoré par les flots de la mer.

« Nous sommes arrivés, sortez tous du bateau et suivez moi, le professeur Mac Gonagal nous attend. » dit un grand homme aux cheveux ébouriffés.

C'est vrai qu'il est géant ce monsieur, il me dépasse de loin mais il n'est pas normal d'être aussi grand à moins d'être un géant! Oui un géant. Je m'approchai de la foule de première année qui s'établissait en un troupeau infâme devant moi. Des claquements de mains retentirent et une vieille dame. Elle était vêtu d'une grande cape de velour de couleur vert bouteille, était coiffée d'un chapeau de tissus de même couleur que sa cape et portait des petites lunettes en forme de demi lune qui luisait sur son nez recourbé. Elle redressa machinalement son visage pour le moins fermé et annonça :

« Bonjour à tous, je suis le professeur Mac Gonagal, directrice de la maison Gryffondor et professeur de métamorphose élémentaire. Je vais vous accompagner jusqu'à la grande salle, vous y serez appelé progressivement par votre nom puis répartit dans une des une maison. Les maisons sont au nombre de quatre: Serdaigle, Poutsouffle, Gryffondor et Serpentard. Pour plus de renseignements vous viendrez me voir après le banquet. À présent suivez-moi »

Tout le monde s'exécuta dans le plus bref silence. Elle avait beaucoup d'autorité cette femme mais je devais avouer que je ne comprenais rien à ce charabia de maisons. Quelle pouvait bien être la différence entre Serdaigle,Poutsouffle, Gryffondor et Serpentard ? Je l'ignorais complètement mais je n'allais pas tarder à le savoir. Une grande porte s'ouvrit à nous et suivant les pas de cette "Mac Gonagal" je découvris enfin l'entre de Poudlard: la grande salle. Des immenses tables de chêne étaient disposées de façon symétriques. Au devant, Une autre table posée sur une estrade accompagnait le personnel de Poudlard. On s'immergea encore un peu plus dans la grande salle. De tous côtés des élèves chuchotaient malicieusement, parfois en se moquant de nous. Moi je les ignorait tous, j'étais bien trop occupée à admirer ce magnifique plafond. Le professeur Mac Gonagal ouvrit un grand parchemin de papier, elle s'éclaircit la voix et appela le premier élève:

« Delorbeby Opium »

Je pris une grande bouffée d'air et m'approcha d'elle. Quelle chance, moi qui ne connaissait rien à ce système de répartition j'allais devoir être la première à y passer. Je me laissa tomber sur le tabouret de bois qui nous était réservé. La vieille dame déposa le choixpeau magique sur mon crâne et se recula. Je sentis l'emprise de ce "chapeau" se refermait un peu plus sur moi, tous les présents de la salle avait les yeux rivés vers moi. De quoi être légèrement inquiet croyez moi! Le choixpeau finit enfin par annoncer:

« Il n'y a qu'une maison qui t'iras, oh oui tu seras très bien à »

Je soupira d'aise, c'était enfin finit. La suite vous la connaissez, mes quatres premières années elles sont plutôt banales. Je jongle entre heures de colles et disputes musclés avec les professeurs et les élèves depuis quatre ans et je n'ai pas du tout envie que ça change ...

Prénoms, surnoms : Matière Hydrogenée
Age : Bientôt 14 belles années
Aime, aime pas : Aime les fraises tagadas aime pas les gens qui aiment pas les tagadas ! Mddr'
Comment as-tu connu le forum : Je ne sais plus mais je l'ai trouve o/
Code :OK. By Bubusette. espèce de papier toilettes ^^

O.o
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue !!

Ahhhhhhhhh j'aime ta fiche =) bienvenue

Bienvenue! Je kiffe ta fiche ! **

Bienvenue superbe fiche !
Par contre Kaya est déjà prise par le double schyzo de Stefan, faudra voir si tu peux quand même la prendre

Bienvenue!!! Mon dieu!!! ça du être long!!! bravo!

Bienvenue! Je vais te féliciter sur ta fiche, ce qui est très original x)

Et c'est ainsi qu'on mit le grand Dieu Lorcan sur le cul. Mdrrrrr. J'adore ton usagisation (dico) du pronom je, que tu manies fichtrement bien. *-*

Coucou, oui, je suis le DC de Stefan, et en fait, je tiens beaucoup à Kaya, mais après je sais pas ce qu'en disent les admin...

Merci à tous vos bienvenues mais vous allez regretter de m'avoir tous accueillit si chaleureusement, croyez moi ... *-*

Euh par contre je ne comprends pas pourquoi on me félicité mais merci (:

Lorcan --> Mit sur le cul hein ? Déjà il faudrait que tu sois un Dieu ( avec un grand "D" ) pour et puis mon usagisation ( que je viens découvrir comme mot !! ) de la première personne je lui trouve rien de spécial mais bon.=P

Susan --> Non non t'inquiètes pas, sil il le faut je changerai d'avatar sans problème.

POWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!! VOUS ALLEZ TOUS MOURIR D'OVERDOSES DE FRAISES TAGADAS

coudonc... qu'est-ce que tu nous manigance!?!

Je sens que je vais t'adoooooooorer!!!

Bienvenue à toi

Que je m'appelle Opium ou Papier toilette pour un code je vois pas la différence
J'ai édité. (aa) J'ai laissé le papier toilettes (--")

Fais gaffe, j'vais t'appeler Papier Toilette maintenant!