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 Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth//

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MessageSujet: Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth//   Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// EmptyMer 22 Déc - 16:06

La pluie sans âge, traversée de cette élan de folie, d'un empreint de magie éternelle. Combien d'homme avait elle compter mourir, tués sous ses yeux par les ravages du temps, et cette vie qui courrait, inlassable sur la terre ravagée par le meurtre et l'amour. Une situation inexplicable qui pourtant renaissait chaque jour, pour compléter un tableau imbibé d'encre, une éternelle rotation. La pluie, hantise des rêves souvenirs, qui frappait les vitres d'un château dressé dans la nuit.
Un orage se préparer à éclater. Mes doigts se posèrent sur la vitre froide de l'unique fenêtre de la salle sur Demande. Salle sur Demande. Si seulement la vie pouvait ressembler à cet endroit, et ne jamais perturber la vie par des apostrophes ridicules, que tout soit prévisible, et que jamais plus la souffrance n'existe. Avais-je envie de me battre? De la laisser me tuer? Elle me blesserait, et la possibilité d'une douleur ne m'était plus envisageable. Je souhaitais oublier, et faire disparaître de ma mémoire cette seconde où j'avais posé les yeux sur elle. Les anges n'étaient pas pour moi. Je n'attendais plus rien, seulement le silence. Le silence d'un monde de vie normale, où la magie du bonheur ne me serait pas compté, et où je pourrais respirer. Simplement respirer. Pourquoi étais-je ici? A Poudlard. Je me donnais l'impression d'être enfermé en un lieu dont je ne savais apprécier la splendeur d'antan. JE rêvais de rien. Juste d'une mélancolie ineffaçable. Comme pour répondre à mes appels de manière typiquement hypocrite, les vibrations de la magie pénétra mes sens, et me fit découvrir la nouvelle transformation de la salle. Je me tournais, et avec une surprise nostalgique, découvris le lieu le plus magnifique qui soit. La magie...ridicule, pathétique. Je ne croyais plus en cette énergie intra-cérébrale qui provoquait des bouleversements sur les éléments naturels. Pourtant, c'était mon âme qui se reflétait par cette même magie; faisant de la salle une étrange ruelle sombre. Oui, une ruelle à Poudlard, dont le sol était composé de centaines de pavés déhaussés, frappé en silence par une pluie invisible. Je m'écartais de ce qui restait autrefois de la fenêtre. Le ciel d'orage était au dessus de moi. J'avais tenté de me laisser mourir, de sauter. Mais par l'ironie pure du destin, une main tentatrice m'avait retenu accroché à ce sol. Pluvieux, sol que j'aimais, frappé par un vent sauvage de la ville. Oui, une ruelle sombre, certes. Avec un piano en son milieu. Quelle était, quelle pouvait être ma douleur si je faisait vivre?
Mes pas glissèrent sur les dalles de pierre. L'eau qui s'élargissait et formait des plaques était pourtant réelle, et cela ne pouvait atteindre le piano, comme si un voilé s'était étendu au dessus de lui, pour préserver la beauté mystique. Mes doigts glissèrent. Beauté du jais, entente secrète du son qui résonnait avec force dans une quelconque imagination. Je contourna l'objet, et me retrouvais presque comme dans un rêve, face à ce clavier à la blancheur d'ivoire. Les dièses étaient d'une de ces nuances unique. Noire, mais bleue. Beauté.
Je m'assis en silence face au piano. Pour
rappel..j'étais dans une ruelle londonienne, sous la pluie, sous le toit de la plus grande école de magie d'Angleterre. Terre battue par le vent et la pluie. Mes yeux se posèrent sur le ciel nuageux au dessus de moi. Il n'y avait pas d'inspiration, juste le destin des souvenirs et la logique du présent. Mes doigts se posèrent. Douceur. Et conflit intérieur. Entre l'envie de décider et celle de se laisser dominer. Par l'objet, l'âme elle même, supérieure du piano. Je fis glisser mes doigts, laissant mon esprit se faire terrasser avec calme par la supériorité de la non-vie. J'appuyais doucement. Et fermais les yeux. Rain, de Dax Johnson. Rain. Pourquoi fallait il que la pluie soit centre des occupations les plus précoces des désespérés de ce monde? Imaginée, elle perdait pourtant toute beauté, mère de ce monde, de cette vie tumultueuse, de ses ouragans qui déchiraient les flancs de ma volonté que je croyais imparable. Plus de lumière dans la nuit. Les réverbères d'une intention oubliée, qui ne brillaient que très faiblement désormais, dans un cercle de pensées, un nuage s'éloignant. Défaitiste? Non. Seulement le piano ne s'accaparait pas la pensée. Il la développait, et envisageait des bifurcation mentales qui entrainait souvent loin du cœur, en défense à ce qui était pourtant interdit. Et je ne pouvais lutter, en mélomane, au charme dangereux des notes qui s'égrenait sous mes doigts. C'aurait été déchiré un livre, un corps que de lutter contre la puissance intempestive de la musique, et rien ne pouvait blesser l'aura de sa folie. Centrer le corps et l'esprit, afin de retrouver un calme irritable, une dévastatrice idéologie qui secouait les os contre les mers et les océans, flottant sur un radeau de bois une étincelle perdue, trop longtemps ignorée.
Je ne sais pas si on me demande ce que je suis. Ce que je suis? J'étais juste une lettre, un mot. Deux ou trois, cela ne faisait grande différence. A peine un détail. Lorcan. J'avais pût être un enfant, autrefois, et un adolescent, mais ce était encore plus loin. Il me semblait apercevoir parfois, dans mes rêves, ce que j'aurais pût être. Rieur. Pourquoi étais-je si ennuyeux, si saoulant, dirait certains? Peut être parce que la mort me faisait plus peut qu'autre chose, et que je ne voyais en elle qu'une amie menteuse? Mais une amie qui embrassait avec tellement de passion que son théâtre d'ombre chinois paraissait pour moi la plus belle forme d'expression. Qu'elle vienne, je l'attendais, seulement, je doutais de la reconnaître, en la comparant à celle de la vie. Si mon existence dût être un morceau de musique, avec plaisir j'aurais choisi de l'électro, de la pop, et tout ce qui faisait sourire. Un sourire de par la musique. Me mettrais-je enfin à détester le piano, un jour? Cet esprit séducteur, caché par la beauté la plus implacable qui soit, et qui pourtant tuait à petit feu. Oui, pour un souvenir revenu, une montagne de remords qui s'écrasait en brisant. Je percevais des battements, des percussions. Quelle était ma force sur Angela? Je n'en avais plus la moindre idée, seulement cette léthargie qui rompait mon dos, me forçant à m'incliner devant cet attrait morbide. Un air de musique qui s'éloignait, et tout repartait. Les pleurs, les sanglots dans la nuit, je n'avais plus le moindre but. Certes cela me conférait un avantage certain sur elle, mais toute cette quête de puissance, de vengeance pour une expiration du souffle me semblait vaine et risible. Pourquoi ne pas tout simplement oublier? Juste lui demander pardon. Je m'en savais capable, ce n'était qu'un mot qui accélérerait les choses. Mais elle, de sa volonté, je le savait d'avance, refuserait, et craindrait ma faiblesse, cette absence de pugnacité. Oui, j'avais envie de changer, de vivre différemment. J'avais envie de tracer les mots de mon histoire à Poudlard, et j'étais tiré par cette bipolarité m'affirmant que j'étais partout à ma place, et que rien ne pourrait changer quelque soit ma voie. J'aurais dût m'attendre à cette vague, mais pourtant, c'était comme fixer la lune en se demandant comment l'atteindre. Quand l'impossible devenait possible, tous charmes perdaient magie. Plus rien ne pouvait vous apporter goût à la vie, et vous restiez seul dans votre enfermement. Une vague noire, qui se brisait sur les rochers, tandis qu'une plage infinie s'ouvrait à vous. Quel merveilleux destin, en perspective... je n'avais plus qu'a chercher mon chemin parmi les grains de sable, trouvant mes repères et me fixant sur l'idée que tout puisse changer un jour. Le croyais-je réellement? A cet univers ensoleillé où l'amour perdurait? Qu'est ce qu'était l'amour pour moi? Mon frère? Sa belle-amie? La belle chose...ils s'aimaient, et je me tournais vers un miroir incapable de m'affirmer la vérité. La lune et le soleil, qui rentraient dans mon esprit tabou, face aux pathologies les plus graves. Schizophrénie, sociopathie. Et que faire? Dans des croyances ex-populaires qui se heurtaient à une ouverture inconnue, sur un champ libre de toute idées fies, mais des remparts de superstitions qui détruisait la raison. Le meurtre d'une vie, par la résurrection d'une autre était elle acceptable? Le fondement d'une égalité parfaite, qui comme une église ancestrale viendrait abriter les plus lourds secrets. Le principe d'échange équivalent. La mort par la vie, la lune par le soleil. Une lumière des deux chants, sombres et uniques, dans la dentelle pérenne d'un arc en ciel désabusé. Je m'y trompais fort, j'en étais sûr, mais cette fixation sur le sujet était presque obstinée, quitte à vaquer à d'autre occupation, autant vivre plus sage. Des points qui se tâchaient dans les mots de ma vie, créant majuscules, points et virgules, un champ d'honneur où tous sombraient, chutant dans la mélancolie de ma folie. Pensée, poésie, qui étais-je pour me permettre de parler ainsi, d'évoluer vers des horizons qui ne bloquaient la route qu'a eux même, de détruire ces murs de plâtre et de papier? Des univers? Pourquoi pas, si je pouvais d'un coup, d'un seul, balayer tous ces vents qui rampaient mon cœur, détruire cette envergure que formait mon esprit, j'aurais put contempler la face arborescente d'un dieu, qui peut être, m'aurait éclairé vers ces tunnels engagés et obscurs. La pluie? Pour qui, pourquoi se battre dans la vie quand elle ne désirait pas de vous? Pour un piano mal accordé qui perdait de sa tonalité une fois face au génie pur? J'étais ce que j'étais, et je vainquais de par une flamme démente qui rongeais mon être en son sein, refusant de laisser court aux intonations factices de la Cour. Un roi, une reine? Je gagnais sur eux, dominant et ignoré de cette idiotie la plus totale et stupide du monde de barbares. Que les grecs courent, je n'en avais que faire. Qu'on érige des cathédrales, des forêts qui s'enflamme ou des pluies acides, je ne pouvais porter mon regard plus loin que sur cette destinée improbable qui en moi, cachait des terreurs enfouies. Fou? J'étais fou? Mais quel était ce mot dont vous me parliez à l'instant? Donnez moi la définition, expliquer moi en détail, dans les profondeurs et les entrailles, et ralliez cela à ma cause, à mon état d'être. Alors peu être vous écouterais-je, là, seulement. Mais pourtant? Il me semblait que ces vents tonitruants qui détruisaient vos rires et vos jeux, comme les balançoires qui frappaient dans le vide, gémissantes aux bouts de leurs chaines? Les entendiez vous? Les entendiez vous? Ces incendies de ma folie, qui brisant vos forces se répercutaient sur les branches des arbres de vos cœurs! Je tuerais, qui? Mais moi! Le seul être intempestif, misérable, ignorant et dépourvu de tout esprit critique capable d'achever seule ma calomnie. Honte, détresse, je ne pouvais plus rien contre les drapés d'une illusion inachevée, d'un monde sans conviction à qui j'hurlais ma rage, et qui contre moi dressait des écoles. Des écoles, voyiez vous ça? Un savoir immense, inconnu, qui s'étalait sans fin, dévorant les arbres, décorant les hommes, et ce d'un ridicule moue de normes qui plongeait le Tout en une règle parfaitement adapté. Que ce soit de magie ou de moldue, toute était semblable, finalement. Les rôles s'inversaient se superposaient, se juxtaposaient et se mêlaient. Mais rien ne disparaissait pour moi, qui fixait la face terreuse d'une société enchainée. La célébrité de tel ou tel qui enrayait un système de défense compliqué et que rien ne pouvait encrassé? Nenni, fixez mieux que cela, vous observerez des doutes et des colères, et des chants blasphématoires. Moqueur? Non! J'étais juste malicieux! La différence? En son sens, aucune, je me foutais de votre gueule, et c'était mieux ainsi. Je refusais de me mêler a ceux qui ne m'apporterais rien. Pas de musique et dans mon corps pas d'harmonie. La superficialité ne faisait pas tout. Cheveux blonds, yeux bleus, très beaux, pour vous. Pour moi, c'était réductif d'appartenir à une quelqu' appartenance. Je pouvais refuser l'humanité de ma pensée, mais mon corps resterait inchangé. C'était une enveloppe, dans laquelle nous étions tous enfermé et que rien ne pouvait ouvrir, une fois scellée. C'était triste, mais on n'y pouvait rien, c'était comme ça. Il y avait des forts et des vieux. Des jeunes et des dominés. Mais en fait, tout le monde se retrouvait esclaves. Avais-je quelque chose à dire? Fuck you. Non, c'était impossible, et rien n'y changerait. La mort sur les hommes; Dieu et la Vie. Contraste d'artiste, d'une penture changeante, d'un horizon tempêtif. Mon temps qui se stoppais, mon cœur qui s'arrêtait? L'importance avait elle de l'avenir? Et l'inverse encore plus? Ma question qui se gravait sur le temps d'une demie-valse à trois temps, et d'une musique éronnée, d'un piano mal accordé. Qui aimerais-je, qui tuerais-je, que ferais-je? Mourais-je? Non, pas de réponse, et je ne voyais rien qui eut put bloquer mon existence déviée. Pauvre de moi! Pauvre petit humain gémissant! Pourquoi ne crevais tu pas, comme des centaines de milliers d'autres fourmis? Pourquoi t'assurais tu d'une place sur un piédestal branlant, qui chuterait un jour ou l'autre? La musique, la philosophie...De bien jolis mots pour des idées infondées. Alors pourquoi pas juste le silence?
Lorcan.
Je rouvris les yeux. Rain s'acheva, et le piano mourut. Je restais assis, immobile, à fixer le clavier qui me semblait désormais morbide. Puis un mouvement vers la porte, et une silhouette qui pénétrait dans la ruelle vide et pluvieuse. Je ne pouvais bouger. Que réfléchir, que dire, suite à cela? Une simple mise en point, un automatisme qui revint pourtant.

_Bonjour...
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Joline L.-R. Swann-E.
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MessageSujet: Re: Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth//   Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// EmptyMer 22 Déc - 19:51

Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// Photo_30875094 Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// 467705Kristen_Bell05
Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// Kristen-Bell-kristen-bell-10332242-100-100 Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// Photo_30455010

PV Lorcan & Elizabeth ; Excuse-moi, je te connais pas, tu es ?




    9h10 : Bon sang, laisse-moi dormir May' :

    Un jour pluvieux à Hogward, une demoiselle allongée dans son lit, dans le dortoir des filles de Serpentard, s'éveilla doucement. Cette demoiselle n'était autre qu'Elizabeth Rose Jordan Sanders-Wellington, un nom très long je l'admets, mais enfin, c'est ainsi qu'elle se prénommait. Bref ... en ce samedi matin, la jeune fille n'était pas très enchantée à l'idée de descendre dans cette Grande Salle pour y prendre son petit-déjeuner, non, elle préférait, et de loin, restait là, ainsi prélassée, dans son lit. En fait, elle n'avait pas très envie de sortir de son lit si douillet. Elle resta allongée, jusqu'à ce que l'une de ses camarades de chambre arrive et lui verse un verre d'eau dessus. Oui, entre temps Elizabeth s'était rendormie et sa camarade l'attendait pour aller manger. Elizabeth émergea alors à nouveau et sortit de son lit. Elle prit alors son coussin et l'envoya sur sa camarade s'en suivit bien sûr une bataille de polochons à laquelle une grande majorité de Serpentards participèrent. L'ordre fut rétabli aussi vite que la bataille de polochons avait commencé, grâce à un préfet. Les deux camarades remontèrent et allèrent se préparer pour aller manger. Elizabeth enfila un jean slim ainsi qu'un débardeur et une veste et chaussa des converses basses. Elle qui s'était réveillée la dernière, elle était prête avant son amie. La jeune Serpentarde l'attendit donc, puis bras dessus - bras dessous, elles allèrent manger.

    10h00 : Un peu de solitude et de tranquillité ne fait jamais de mal à personne :

    Après qu'elles aient pris leur petit-déjeuner ensemble, May' et Effy' se séparèrent, cette dernière retourna dans la salle commune des Serpentard et remonta dans son dortoir tandis que May' allait voir son petit ami. Elizabeth récupéra sa guitare, ainsi que son sac, dans lequel elle fourra toutes les affaires qu'elle avait sous la main et dont elle pourrait avoir besoin ainsi que son ipod. Elle savait très bien où elle comptait aller : à la Salle sur Demande. A cette heure-ci, les étudiants d'Hogward étaient dehors ou bien à l'intérieur, mais certainement pas dans la Salle sur Demande. Elle le savait car elle avait pris l'habitude d'aller dans cette salle tous les samedis, pour jouer de la guitare tranquillement et elle avait donc pu se rendre compte qu'il n'y avait personne à part elle. Enfin, elle mit les écouteurs de son ipod dans les oreilles, sa guitare sur le dos, son sac au bout du bras et ainsi, elle se rendit à la Salle sur Demande, au rythme de la musique qu'elle était en train d'écouter. Elle arriva devant la fameuse Salle, et ouvrit la porte, tout en pensant à un studio de musique. Mais ... elle ne s'y retrouva pas et atterrit plutôt dans une ruelle pluvieuse et vide ... enfin il y avait ... une personne qu'elle ne voyait que de dos et qui en entendait la porte s'ouvrir se retourna vers la jeune Elizabeth, bouche bée. Elle ne se rappelait pas avoir imaginé une ruelle avec un jeune homme, même si c'est vrai que c'était assez tentant. La prochaine fois, elle y penserait. Enfin, le jeune homme prit la parole :

    _Bonjour...

      Elizabeth ♦ Humm ... euh ... Salut ...


    Elizabeth n'était pas du tout d'un naturel timide mais là ... elle était étonnée de voir un jeune homme dans la Salle sur Demande, également. D'habitude, il n'y avait personne à ce moment-là.

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MessageSujet: Re: Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth//   Ich bin krank, ohne dich //Pv Elizabeth// EmptyMar 11 Jan - 0:57

Trop de zèle dans la voie forme autour de moi une corrole sanglante. J'entends le vent et la pluie qui chute et transperce le sol de vingt ans, plus deux millénaire. La vie me quitte, fantôme glissant qui cherche à couler sur les ponts, ous les ponts, en une roue de karma non identifié. La violence des souvenirs disparaît pourtant peu à peu et je laisse l'instant, douceur incomparable d'un charme d'été faux, d'une lame endiablée, glisser ma carotide et embrasser mon coeur. Je laisse le silence qui s'installe, une pêchée de pomme, qui roule du ciel à ma main, un globe celeste, qui manque à la tombe pour parfumer de son arôme suave les rues londoniennes d'une Paris sans coeur.
Les naginatas passent devant mes yeux comme des fuseaux de peintures qui éclairent la vie d'une sombre couleur. Une lettre aux ongles griffus qui déchirent de leurs rouge impeccable un papier de lettre à verre, une surface lisse et chaude, une myocarde encore battante à qui l'on arrache la vie. Les battements d'une musique inventée, le choeur d'un enfant sans voix, le chemin qui s'efface et les dés qui roulent sur la tables, roulent et chutent, s'éclatent au sol puis meurt sur une face, révélant les séquelles des points noirs. Il s'agit d'une poésie, d'une enfance terminée, d'un souvenir disparut qui rime sur une barque, un fleuve désenchanté, où brille de mille feux un ciel d'orage. La colère des divins qui s'abat sur nos têtes, un bateau ivre qui se croit supérieur et les êtres aveugles qui de leur nageoires le noit, le noit, à n'en plus vivre.
Ils pleurent, oui ils pleurent, sanglotent et hurle, tendent vers moi leurs doigts décharnés, ces beautés d'hommes qui m'insultent et brandissent contre moi le glaive. Oh seigneur je ne puis me défendre. Pourquoi ne pas chuter à ma rencontre et sauver ton serviteur? La dignité de ta vie interdit elle mon absence dans tes yeux, un talent de peintre fou qui crie au meurtre? J'en souris encore, de ces pas de danse et des rires dans la souffrance, moi je vis à ne vivre, pleure à en crever, et hurle à ne mourir. De joie, de joie, je vous en prie, tuez moi, ce solfège immédiat qui ne cesse dans ma tête. Vous criez au Loup, croyez en dieu, en la rédemption du petit chaperon rouge qui finit violée, au pieu, un vampire dans la gorge, un amour fictif pour ses yeux d'enfant. Le père est Oedipe, il me semble que j'entends les roues d'un char, et les sabots des voitures à quatres pattes Je souris à en sourire comme une fleur qui pousse sur un nuage.
_Je vais partir, veux tu parler?

(Pas trop d'inspi. soit on arrêtes là parce que je vais finir par te gaver, soit on continues, mais je ne suis pas très fort pour les rencontres...et ça risque d'être une étude approfondie sur comment le vent poussa les nuages vers l'est...)
_Je vais y aller. Veux tu parler?
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