Je vous attrape les cheveux, je prends un ciseau et je commence par couper trentes centimètres. Ensuite, je prends un feutre noir et je dessine la circonférence de votre boite crânienne. De là, je prends un bistouri dont l'épaisseur de la lame est de 0,7 mlm. Je le pose sur votre peau de crâne, et j'enfonce très délicatement. Avec douceur, et le sang jaillit comme la rosée du matin se posant sur les fleurs qui trop lourdes, laisse chuter ces myriades auqueuses. Les gouttes pourpres.
Ensuite, après que votre scalp ait chuté au sol dans un bruit sourd, vous vous retrouvé lee crâne à l'air. Or, ce dernier est un os, composé de calcium, donc difficile à la découpe. Je me sépare donc provisoirement de mon salpel. Je reviens vers vous, quelques minutes plus tard avec cet objet long, épais mais plat, incurvés de ce que l'on nommera « dents. » Oui, ceci est une scie chirurgicale. Ne bougez pas, je m'occupe de la finition.
Le crissement strident des dents métalliques, engagés dans une rotation folle, qui rentrent en contact avec la surface poreuse de l'os crânien. La poudre qui vole, blanche. Puis un soubresaut de la scie, et un violent et soudain flot de liquide transparent qui se déverse sur vos épaules, glissant sur vos joues. Ah, bah merde, le cerveau ne flotte plus...y'a plus de liquide.
Je continues la découpe, des morceaux d'os volant un partout. Ca va, c'est plutôt rapide. Je stoppe lentement le mouvement avide des dents, ces dernières encore engluées du liquide inter-crânien. Je pose l'instrument sur le sol. Je me trouve face à votre cerveau. Magnifique, comme une superbe tortue jaune. Un doix de latex qui passe sur une zone, la jointure des deux hémisphères. Votre corps se met à trembler. J'appuie un peu, et vous ouvrez la bouche, très grand. Douleur? Vous n'êtes pas déjà morte?
Je recule, ramasse le scalpel, et le pose sur le tronc cérébral, abritant cette petite zone que l'on nomme le bulbe rachidien. Je prends le feutre, et pointe une toute petite croix encrée. Puis je lève lentement le scalpel, et TCHAC, l'enfonce dans le cervelet. Un grand rire sadique qui explose hors de mees lèvres, tandis que j'assène cette surface molle et visqueuse de cruels coups de lame, de manière totalement aléatoire.
Après m'être épuisé à réduire votre délicat organe sensoriel qu'est le cerveau, je découpe les épais filaments de moelle osseuses et nerveuse, ôtant rapidement les vertèbres. Ces dernières forment une symphonie à l'harmonie étrange, vous ne trouvez pas?
Bon. Je pose la confiture de cerveau dans un petit recipient, et j'évite de glisser sur le sol parce que j'en fous partout, je passerais la serpillère plus tard.
J'enlève maintenant la blouse, et je mets de nouveaux gants latex. Nous allons maintenant passer à des styles plus...traditionnels de torture.

Vous êtes maintenant dans une salle noire, et vous avez un nouveau cerveau tout neuf, merveilleux. Vous êtes assise contre le mur, et si j'ose dire, Mlle, vous êtes assez paniquée. La cellule est noire, vide.
J'entre. Vous place allongée sur le sol, les bras et les jambes en croix. Vous ne pouvez pas bouger, le dos contre le sol, immobilisée. Je ressors tranquilement, prends un bol et un cage dont l'occupant pousse des couinements plaintifs. Je posa la cage sur le sol, et allume un feu grâce à un réchaud. Je pose le bol, vide, sur le réchaud. Ce dernier va activer toutes les particules de céramique constituant son épaisse couche, et bientôt friser une température irréelle. Un câble s'occupe de récupérer le bol, et de le poser sur un cerceau. Ce cerceau va être apposé à une ceinture abdomiale, afin que vous ne puissiez pas vous défaire de ce bol chaud. Mais avant de boucler la sangle de cette ceinture, j'ouvre la cage et dépose un rat noir, affamé. Puis, d'un claquement sourd, je referme la ceinture. Vous avez un bol chaud, que vous ne ressentez pas, certes, mais qui emprisonne un rat, ce dernier étouffant peu à peu. Vous sentez ses griffes douloureuses écorcher votre peau, tandis qu'il s'étrangle de chaleur, cherchant un échapatoire à ce martyre, et vous savez quoi? Il n'en trouvera pas, trop paniqué à courir sur votre petit ventre bien dodu... jusqu'à ce qu'il se rende compte que vous être molle... désolé, je sais que les abdos ont été travaillés cet été, mais voyez vous, ce petit animal saprophyte n'a que faire de votre régime sportif.
Vous êtes molles, et ses dents sont tranchantes. Et il n'a pas envie de mourir.
Rassurez vous, vous n'êtes pas la seule à avoir sentit la douleur d'un rat s'enfonçant à coup de griffes et de canines dans vos entrailles, creusant en vous le tunnel vers sa survie.
Adieu! ^^