La petite Française se dirigais paisiblement à travers les herbes hautes, en direction du parc.

Lors de cette même journée, elle s'était trompée de cours et avait alors fait la connaîssance d'un Griffondor de son niveau. Ils s'étaient échangés des messages durant le cous de M. Flitwick.
Ils s'étaient posés quelques questions et données des réponses pendant le cours et avaient décidés de se rencontrer au parc, une fois tout le travail terminé.

Voici donc pourquoi sophie Rouville étiat dehors à marcher sur le sol humide.
Un sourire radieux était étampé sur son visage. L'air fris qui lui soufflait dans le visage lui fesait un grand bien; depuis son arrivée à Poudlar, Sophie n'avait pas eu grand temps pour mettre les pieds dehors­.

Après quelques minutes de marche, elle apperçu enfin les bancs de parc.

Elle se dirigea vers le plus près afin que son nouvel ami puisse ensuite la voir et la rejoindre.

Rendu à sa cible, elle enleva sa longue toge, la déposa sur le banc et s'assis lourdement sur celui-ci.

Sophie regrdait la nature et l'écoutait. Le chant des petits oiseaux et du vent l'avaient toujours fascinés.

Elle se coucha sur le dos et pris le morceau de son uniforme enlevé lorsqu'elle étita arrivée en guise d'oreillé. Elle pu enfin se détendre et observer les nuages dans lesquels elle pouvait enfin se permettre de tomber.

Elle ferma les yeux et s'assoupi presque aussitôt.

La journée, suite à la rencontre avec Sophie, s'écoula paisiblement, et je ne rencontrais aucune autre jeune fille aux yeux océans.
Mon sac en bandoulière jeté sur mon épaule, mon écharpe enroulée autour de mon cou, je fixais l'étendue du Lac, gigantesque ombre grise, qui s'étendait sous le vent calmement, à peine secouée par cette brise d'hiver naissant.
Je sortis de ce flot d'élèves se préparant à aller diner, me rappellant soudainement avoir rendez vous avec Sophie. Au détour de la cour de Métamorphose, mon regard tomba sur Théophile. Silence. Je sortis rapidement.


***


L'herbe était déjà craquelée d'une pellicule scintillante de gel. Je n'aimais pas l'hiver. Trop froid. Longeant le Lac, je découvris rapidement la petite Française, couchée sur un banc. Interdit, je restai immobile une seconde, puis stupéfait, me rendis compte qu'elle s'était endormie. Je dévorai rapidement la distance me séparant du banc, et le contournant, me placa au dessus de Sophie. Dormir. Quelle chose stupide et merveilleuse. Laisser son corps et son âme vagabonder en dehors de toute défense personnelle. Ma main se posa sur la joue froide et pourpre de Sophie. A ce contact, les paupières pâles se soulevèrent.
"Tu tiens à mourir de froid?"
Mon sourire se fit jovial.
"Il ne fait pas froid, en France?"
Je m'assis à mon tour, sur une branche basse de l'arbre surplombant le banc.

La jeune fille s'assit, s'abrilla de sa toge, puis unvita son ami à faire de même.

''En france, tout dépend de l'avis de chaque personne...''

Elle se tourna vers Lorcan, puis dévora ses yeux du regard.

''Oui, j'ai froids... Par contre, je ne tiens pas à mourir, ah ah! J'aime tout simplement l'audeur du froid et le chant des oiseau. Ça ne me déranges pas d'avoir froid... je trouves ça tellement beau''

Elle leva les yeux vers le ciel en soupirant, exasperée de ce qu'elle venait de dire... Elle passerait surement pour une grande folle aux yeux de sa nouvelle connaîssance. Sophie lui souria puis, interrompit une fois de plus le silence. Elle voulait s'améliorer en anglais donc, elle placotait.

'' Est-ce que tu veux marcher? Ça nous réchaffera et on pourras dircuter!''

Les deux adolescents se levèrent et se dirigèrent lentement vers un lac gelé.

'' Tu aimes patiner?''

Sophie venait de se faire bombarder de questions.
Elle commença par répondre à la première;

- J'ai fait du violoncelle pendant un bon moment, avant de m'inscrire à BeauBâtons pour ma première année là bas.

Lorcan glissa un peu chambranlant vers la jeune Poufsouffle.

-Tu sais ce qu'est un violoncelle? C'est assez gros et je ne pouvais pas m'en encombrer en plus de tout mes bagages. je n'ai donc pas touché à d'instruments depuis mon arrivée à une école de sorcellerie.

Pendant que Sophie, la mine basse racontait sa petite histoire, Lorcan se dirigeaut toujours vers elle. Il l'attrapa par l'épaule pour ne pas tomber, ce qui la fit sursauter.

- Et dis, en France... ils sont au courant de la leve de ce mage noir?

sophie le regarda intensément attendant une suite de question et, voyant son ami lever le sourcil droit, elle s'empressa de lui partager ce qu'elle savait.

-Oui, c'est en patie pour ça qu'on a déménagés. Mon père travail pour le ministère de la magie.

Sophie coupa sa phrase.

- Je te l'ai déjà dit. Il me semble que oui, ce matin...

Puis, encheina, comme si rien ne s'était produit.

- Il devait enquêter pour ce mage, mais je n'en sais pas plus que ça, on essait toujours d'éviter le sujet...
Les sorciers français, en général, connaissent son existence, mais on ne sait ni son nom, ni à quoi il ressemble. On ssait juste qu'il existe... et qu'il est dangereux.

Elle s'interrompi, garda le silence. Lorcan aussi. Elle baissa son visage vers le sol et ses yeux commencairent à se remplir d'eau.
Puis, lle tomba sur les genoux et s'efronda en larmes.

-J'espère que me père va bien. Qu'il n'est pas encore... mort... Tu sais Lorcan, j'ai entendu dire que le père d'Albus et l'oncle et la tante de Victoire nont pas eu la vie facile... Je ne veux pas qu'il revienne... ni lui ni un autre...

Tout ça, étouffé de petit sanglots.