-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Lùbelle J. Harringston

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 10:08

Lùbelle J. Harringston Iconashleygreenerobf6 Lùbelle J. Harringston Iconashleygreene Lùbelle J. Harringston Iconashleygreenerobf4

.:: Informations de Bases ::.

    Nom, Prénoms : Harrinsgton, Lùbelle June
    Date de naissance : Le 14 Mars.
    Age: 15 ans
    Année Scolaire: 5e année
    Maison choisie: Gryffondor ou Serdaigle.
    Baguette : 24 centimètre. Contient un crin de licorne.
    Patronus : Un caméléon
    Epouventard : Son père qui sort de prison
    Animal de compagnie : Un chat, Poopy.
    Avatar choisi : Ashley Green


.:: A Propos du Personnage ::.

    Caractère: Lùbelle n’est pas vraiment quelqu’un de solitaire mais sa vie lui a donné un caractère bien à elle, la jeune fille sait s’occuper d’elle toute seule. Elle n’attend pas que les évènements arrive et encore moins qu’ils lui tombent dessus. Elle va face à eux, et elle est très loin de se laisser faire. Ce qui l’a rend un peu trop audacieuse parfois, quitte a se fourrer dans les ennuis. Si elle a appris une chose, c’est qu’on n’obtient rien en se tournant les pouces. C’est une fille assez sociable, qui n’a pas de mal à aller vers les gens pour leur parler, leur demander de l’aide ou même, leur apporter son aide. C’est une jeune fille agréable à vivre qui se contente de ce qu’elle a. Malgré tout, elle a un côté bien trempée, bien qu’assez patiente, elle va vite vous dire ce qu’elle pense. Elle sait très bien faire preuve de ruse pour avoir une chose qu’elle convoite, sans pour autant faire de mal à son entourage en le manipulant. Elle déteste faire souffrir les gens. C’est une jeune fille assez sensible à cause de son passé, elle a souvent besoin d’attention.

    Physique : Lùbelle n’est pas franchement exceptionnel. Elle a un charme bien à elle. La jeune fille est assez grande fine. Ces cheveux, hérités de sa mère, sont longs et légèrement ondulés. Elle à un visage fin, elle le trouve un peu trop « carré », oui, elle aurait préféré qu’il soit plus allongé. Mais personne n’est jamais content de ce qu’il a, tout le monde se plaint tout le temps. Au final, on peu qualifier Lùbelle d’assez belle fille parce que dans sa vie, ce ne sont pas les prétendants qui ont manqué. Ses états d’âmes, lorsqu’elle est triste ou qu’elle est d’humeur rigolote, se voient sur son visage. Enfin, faut-il la connaître un peu tout de même.


.:: En dehors du Rôle ::.

    Prénoms, surnoms : Mia.
    Age : 15 ans
    Aime, aime pas : Hum … Vous aimeriez savoir, hein ?!
    Comment as-tu connu le forum : Déjà présente ! Wink
    Code : Okay by Lou



Dernière édition par Lùbelle J. Harringston le Sam 30 Oct - 13:33, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 10:09

.:: Son Histoire ::.


    L’école moldu. Aussi loin que je me souvienne, j’y ai mis les pieds, juste le temps d’apprendre à lire, écrire et compter. Je n’ai jamais vraiment eu de maison à moi quand j’y pense. Je me souviens de cette petite maison, deux chambres meublées d’un lit et d’une armoire chacune, un salon qui pouvait se confondre avec la cuisine et une salle de bain. Cela, pour cinq personnes : ma mère, ma tante, mon frère, mon cousin et moi. La misère. Nous vivions dans un des ghettos le plus dégradé et le plus dangereux à des kilomètres. Nous n’étions pas une famille d’immigrés, simplement rejeté de la société. A cause de qui ? Mon père. Un homme considéré comme dangereux criminel. Tous les samedis ma mère, mon frère et moi nous rendions à la prison rendre visite à ce monstre. Il était tout ce qu’il y a de répugnant sur cette terre : sale, cruel, les traits déformés par la dureté de sa vie … et meurtrier.
    Il s’était fait prendre à cause d’un braquage de banque. Je vous rassure, ce n’était pas un malfrat. Mais il voulait le bien de notre famille, le bonheur de ses enfants. Autant dire que cet homme, ce père, a tout raté. Cela remonte à longtemps, j’étais alors âgée de quatre ans. Des flash de cette journée me reviennent. Une dispute avec ma mère. Le seul vase que l’on avait brisé par terre. Une porte claquée. Puis, la police devant chez nous. Oui, mon idiot de père avait voulu faire le malin, braquer une banque pour ne plus connaître la misère. Dans l’action, il avait tiré, au mauvais moment, la balle avait touché une jeune femme en pleine tête. Pris dans le tourbillon, en voulant fuir, il avait percuté un homme qui était tombé sur une pierre. Mon père était en prison avec le meurtre de deux personnes, un braquage de banque, et la misère d’une famille sur les bras. Après cet incident, la vie s’était montrée encore plus dure, les patrons se montraient retissant à embaucher ma mère et ma tante en voyant leurs nom de famille. Harringston. Ce nom signifiait un fou dangereux en prison à perpétuité.

    Très tôt donc, vers sept ou huit ans, j’avais arrêté l’école pour subvenir aux besoins de ma famille. Avec mon frère et mon cousin, nous allions dans les rues. Mon cousin, Lyle, avait seize ans, et pouvait donc faire quelques petits boulots, il vendait des glaces l’été et des bonnets que tricotait ma tante l’hiver. Mon frère, Jude, âgé d’un an de plus que moi, faisait des numéros de danse dans la rue. Quand à moi, je me rendais à la ville, au milieu du parc, près d’une fontaine, et utilisait le seul véritable objet de la famille, ma guitare. Ma mère avait mis de l’argent de côté tout les mois durant ans pour m’offrir ce cadeau. En échange, je chantais, je jouais et les gens me donnaient de l’argent dans un chapeau. La misère.


    -------------------------------------------------------------------------------------



    Les cordes de ma guitare glissaient sous mes doigts. Une caresse. Je sentais le manche de celle-ci frôler ma peau. Les notes s’envolaient. Le son qui sortait de ma bouche les rejoignait. Ensemble, ils contournaient l’attroupement qui venait de se former autour de moi. La douce mélodie me menait ailleurs. Il faut se battre avant de pouvoir rêver les yeux ouverts. Il n’y avait à présent plus aucun obstacle avec la musique et moi. Je pouvais la voir, je pouvais la sentir. J’en étais devenue avide, ma drogue. C’était encore mieux que de l’écouter. Quand les notes cessèrent, d’autres prirent places. Elles se formaient doucement dans les applaudissements, allant dans une prairie, un océan, une prison. Dans tous les endroits où des gens seraient là pour l’entendre, la comprendre. Mais je savais, que bientôt cela s’arrêterait. Comme toujours, la descente sur terre s’accomplissait brutalement, la vision des passants qui applaudissent puis partent sans rien mettre dans le chapeau. Je soupirais. Aujourd’hui avait été encore une dure journée. Heureusement, j’avais récoltés à peu près trente dollars depuis ce matin. Nous étions en fin d’après-midi. Si je ne rentrais pas, ma mère allait crier. La foule s’était dispersée, je ramassais mes affaires. Pas très loin une vielle dame me regardait depuis un bon moment déjà. Chaque jour elle était là et chaque jour elle me laissait un dollars. Pourtant, cette dame ce trouvait elle aussi en mauvaise situation, elle vivait sur le toit d’un immeuble dégradés avec ces pigeons. La dame aux pigeons. Aujourd’hui, elle m’avait donné plus que d’habitude.
    Je rentrais chez moi. Mon frère était déjà en train de donner l’argent qu’il avait récolté à ma tante. La journée avait était fructueuse, nous allions pouvoir nous acheter des vêtements, enfin. Mon cousin dormait un petit fauteuil. Nous n’avions pas de télévision, alors pourquoi nous encombrer d’un canapé ? Nous avions trouvé se fauteuil dans un magasin d’occasion, enfin pas totalement, plutôt des gitans qui volaient pour revendre après. Il parait que ça rapportait bien, mais ma mère et ma tante ne voulait pas s’abaisser à des moyens illégaux. Pas après la bêtise de mon père.

    « Resterons-nous toujours ici ? J’aimerai savoir comment c’est de déménager. J’ai vu un camion et des pleins de meubles aujourd’hui. Ce doit être marrant. »
    « Ma chérie, nous ne pouvons pas, tu le sais. Tu comprendras mieux quand tu seras grande … »
    « Ma musique rapporte de moins en moins. Pas qu’elle soit mauvaise mais de plus en plus de personnes font comme moi. Je ne sais pas comment y remédier, je cherche un endroit fréquenté avec moins de musicien mais c’est dur. Tu as une idée tante Kelly ? » J’avais peut être huit ans mais ma vie ne me permettait pas d’être une enfant. J’avais muri beaucoup trop vite et ma famille le savait.
    « Ne t’inquiète pas. Dans quelques temps tu feras autre chose Lùbelle. C’est éphémère la musique. Ne pense pas faire carrière la dedans. Trouve toit plutôt un bon job. »

    Dans ma tête de huit ans je ne compris pas très bien. J’avais certes muri mais certaine chose m’échapper. Je la fixais, sans comprendre. On voulait elle en venir ? La musique ne part jamais. Elle ne peut pas partir. C’est mon âme.

    « Non tante Kelly. Ne dis pas de mensonge, la musique n’est pas éphémère. Elle passe son chemin simplement, Elle s’envole ailleurs. Mais elle revient. Toujours. Je pourrais donc faire autant de musique que je le veux. »
    « Lùbelle June Harringston, essaye de t’amuser. Je t’expliquerai plus tard. »

    Je rejoignis mon frère dans la chambre. M’amuser, avec quoi ? Je n’avais que ma guitare et une vielle Barbie. Mon frère lui avait juste une vielle chaîne transportable pour danser et une voiture. Quand à mon cousin, il n’avait même pas de portable à seize ans. Son dernier cadeaux remontait à l’âge de ses quatorze ans et s’était un casse tête chinois. C’est vrai, nous pouvions nous amuser !
    Mon frère m’observa. Il aimait le faire, il savait que je détestais cela. J’aimais Jude énormément, était il possible d’aimer autant sur cette planète. Parfois nous sortions dans la rue et lui, dansait sur ma musique. Que ferais-je sans mon grand frère ? Un jour je m’étais fait attaquer par une bande de jeune qui trainer souvent dans le ghetto, ils finiraient sûrement en prison comme mon père. Il avait voulu me piquer ma guitare. Je me souviens exactement des paroles d’un des garçons, « Petite poupée, tu sais que c’est dangereux de se promener toute seule ici. ». Il avait caressé le manche de ma guitare puis mon menton, doucement il avait pris une mèche de mes longs cheveux bruns. Sa main était énorme et moi j’étais toute fine, toute frêle. J’avais fait face, je n’ai pas baissé les yeux une seule seconde. La vie de pauvres endurcissait les gens, j’étais devenu courageuse. J’avais appris à être gentille avec les gens, les aider mais je savais lorsqu’il le fallait être très méchante. J’avais sûrement hérité ce côté-là de mon père. Autre chose que je tenais de mon père, j’étais impulsive. Ce qu’il y a de bien dans les ghettos, c’est que pleins de débris traine par terre. Mon frère dansait pas très loin, avait attrapé une branche de bois, et l’avait assommé. Les autres étaient partis en courant, avec le corps de leur copain.

    Je décidais de me lever et de le prendre dans mes bras. Il ne me repoussa pas bien que quelque peu surpris. « Tu ne me laissera jamais toute seule Jude. Promet-le moi. ». Il ne dit rien. Sa réponse était oui, mais en cet instant il ne fallait rien dire. Juste faire silence, écouter. Puis je m’assis à ses côté et ensembles on regarda la petite pièce avec trois lits, un bureau et une armoire. Dans un coin se trouvait ma guitare. La sombre lueur de cette pièce, transmettais dans mon miroir une image subtile éclairée par un fin rayon de lune, tout aussi éphémère. La poussière d’étoiles réalisait une danse funèbre autour de mon corps, et de ma petite place, je pouvais en admirer le reflet. J’observais ce passage du sombre au noir, prenant forme devant moi. Quelque seconde, et la beauté de se double inexistant s’en était allée. Il n’y avait plus que la présence de mon frère. Par moment je voyais les choses en noir, normale mais cette présence fraternelle était là pour me ramener à la joie, à l’ivresse qu’apporte une simple vie sur cette terre. « Je te le promet Lùbelle. Je serai toujours là pour toi. ».


    -------------------------------------------------------------------------------------


    Pour la première fois depuis des semaines, j’avais le droit de m’acheter un vêtement. J’avais opté pour une jupe. Je n’en avais pas, juste une robe et quelques jeans. Nous étions donc en ville mon frère et moi. J’insistais pour entrer dans les plus grandes boutiques. Même si je n’avais pas le luxe de me payer leurs affaires, j’adorais les essayer dans les cabines. Mon frère s’amusait à porter des costars et moi je prenais de belle robe de soirée. Mais cette fois, nous étions là pour acheter pas pour essayer. Quoique faire les deux n’est pas interdit, la journée n’en serait que meilleur. « Je veux entrer ici ! » dis-je à Jude. Il me regarda bizarrement. Ce magasin n’était pas pour nous, trop cher. Mais sur les vitrines l’on pouvait lire « promotion ». Je ne comptais donc pas laisser passer une telle occasion. Mes besoin de femme passait avant et j’vais besoin de porter quelque chose d’élégant. Tout de même j’allais vers mais dix ans, il était temps de grandir un peu plus. Même si j’étais suffisamment mature.
    J’avais trouvé la jupe parfaite. Problème ? Elle était beaucoup trop grande. Je voulais quand même l’essayer. Mon frère me suivit retissant. Il aurait fallu une ceinture mais alors que je demandais à Jude si je devais l’acheter, elle rétrécit pile à la bonne taille. J’eus un haut le cœur puis un petit cri de surprise. C’est dernier temps plein de chose dans le genre se produisait. Une corde de ma guitare c’était réparée toute seule. La fissure dans le mur que Lyle avait fait avec maladresse s’était effacé … Et maintenant cette jupe. J’espérais être comme mon frère, comment il appelle ça déjà ? Un sorcier. Il était entré il y a un an a … poudlard. Mon frère dit que je suis comme lui. N’importe quoi ! Moi, une sorcière ? Quand les poules auront des dents ! De toute manière cela faisait une affaire de plus ! Je partis tout sourire avec ma nouvelle jupe.
    En rentrant à la maison, toute contente, Lùbelle cria dans tout les sens, « J’ai ma jupe ! J’ai ma jupe ! Mais regardez ! ». De toute évidence personne n’était d’humeur à m’écouter.

    « Bravo ma petite fille. » Ma mère se jeta sur moi. Elle me regarda avec fierté. Tout de même, j’ai juste acheté une jupe. Pas la peine d’en faire des tonnes. C’est alors qu’elle me tendit un espèce de parchemin. Je compris, me tourna vers mon frère et me jeta sur lui. Il ne serait pas seul dans cette mystérieuse école !


    Quand je vis poudlard pour la première fois, je fus tellement surprise que pendant des minutes entières je n’ouvris plus la bouche. C’est bête, mais dans les barques, j’avais tout le temps la peur qu’elle se renverse. Je m’étais déjà tissais quelques liens de nature sociable. J’avais repéré ceux que je n’apprécierais pas. Cette expérience était nouvelle, moi qui avais arrêté l’école assez jeune. J’allais devoir apprendre à étudier …
    Je ne fus pas envoyé dans la même maison que mon frère. Au début j’ai eu assez peur, puis comme d’habitude, j’ai fais front. J’aimais bien les gens qui étaient dans mes dortoirs. Les personnes étaient gentilles, certains m’ont expliqués beaucoup de choses du monde magique. Le premier jour, une deuxième année m’a traité de sang de bourbe parce que j’étais la sœur de Jude et qu’il ne l’aimait pas. Ma première réaction fut de le regarder bizarrement, quand quelqu’un me glissa à l’oreille la signification, ma deuxième réaction fut de lui faire un doigt d’honneur moldu. Ma première heure de colle. J’ai fais fort je le reconnais. Les jours passaient tous meilleurs les uns que les autres. Poudlard était le paradis sur terre …


    ---------------------------------------------------------------------------------------


    « Tu peux le faire Lùbelle. Pour ton cousin. Fait le pour Lyle. Tu vas gagner ! »

    Ma famille était absurde. Ce concours d’été, si je le gagner, l’argent pourrait nous sortir un peu de la misère. Pas au point de se racheter une nouvelle maison mais avoir des meubles convenable, une télévision. Au lieu de ça, se serait pour les études de Lyle. J’avais quinze seize ans et Jude dix-sept. Nous avions reçu une lettre de l’école Poudlard il y a quelques années. J’avais cru que c’était des fous. Des sorciers ? Je ne savais même pas que ça existait et l’on m’apprend que j’en suis une. Mon frère aussi. Mon cousin lui n’en était pas. Personne de ma famille à part moi et mon frère. De toute manière, ma mère et ma tante n’avait pas refusé, on nous offrait à moi et Jude l’opportunité de faire des études, d’avoir de l’argent, de vivre bien. Dans cette école, je m’étais fait traiter de sang-de-bourbe par certaine personne pas très gentils. J’avais répliqué à chaque fois. Je ne m’étais jamais laissé marcher sur les pieds. J’étais une petite endurcis. Moi et mon frère n’étions pas dans la même maison. Pas grave ! Là-bas, j’avais même appris à jouer au quiditch, je me montrai assez douée pour ce sport. C’était les vacances, nous étions rentrés à la maison pour aider encore la famille. J’avais repris mon petit boulot de musicienne, je n’avais jamais arrêtée la guitare. Pas même à poudlard. La vielle dame aux pigeons n’est plus jamais revenue depuis le jour où elle m’a donné deux dollars au lieu d’un seul.
    Ma mère m’avait inscrite à un concours. Elle voulait financer les études de Lyle pour être sur que tout les trois, nous ayons un métier plus tard. Elle ne voulait que nous connaissions leur calvaire mais même petit, nous avons traversé ce calvaire et nous le comprenons mieux que quiconque. Nous n’en sommes toujours pas sortis. Des que je le peux, je quitte poudlard et viens travailler à la maison. D’ailleurs le week-end, j’ai un petit job pour me gagner mon argent de poche sorcier, il m’en faut bien pour survivre. Et me voila ici, devant une cinquantaines de spectateurs et un jury qui n’y connaît rien en musique. La population ghetto, personnes d’autre. Je vous l’ai dit, ce n’est pas une somme d’argent colossale, juste de quoi assurer un peu l’avenir. Je vais le faire. Je vais gagner. Je suis obligé de gagner. Ma famille en dépend, depuis quelque temps, nous allons très mal. Nous ne pouvons nous offrir que la nourriture du supermarché d’à côté, rien de plus. Je suis arrivée en final. Il ne me reste plus qu’un seul palier à franchir. Mes yeux se ferment, il faut que je me souvienne. Il faut que je revoie, que je ressente la musique. Comme avant. J’avance sur la petite scène.


    ---------------------------------------------------------------------------


    Le nom du gagnant n’est pas annoncé par précaution. Nous sommes dans les ghettos, une bande de jeune voyou peut se trouver partout. Je suis chez moi et j’attends la lettre. Cette lettre que Lyle espère tant. Il n’a pas mangé à midi, beaucoup trop stressé, ma tante n’a rien dit. Il ne mourra pas pour un repas de raté et s’est toujours quelque chose à économiser. Mon frère lit un manuel de poudlard, il révise ses ASPIC. Ce ne sont que les grandes vacances et il a toute l’année mais je ne dis rien. Je comprends, Cet examen, c’est faire des études. Il veut que sa dernière année se passe bien. Nous avons tout les deux eut nos buses avec succès. Pour moi, cela ne fait pas plus d’un mois. Je vais rentrer en sixième année. Il me tarde d’y retourner. Je n’ai pas eut de mal à m’adapter, j’ai l’habitude de vivre en communauté. Il faut se serrer à cinq dans une maison si petite alors partager un dortoir super grand ne pose aucun problème.

    « Mon dieu ! Lùbelle, Lyle, Jude, descendez ! Vite, vite ! » Je me demandais ce qu’il se passait. Ma mère et ma tante sautaient dans tout les sens. Tante Kelly tenait un papier à la main, une lettre. Une vraie lettre moldu, pas un parchemin avec toute la décoration sorcière. Une lettre simple, blanche, épaisse. Lyle, ma mère et Jude était déjà assis autour de la petite table. Moi je n’avais pas bougé. Ce morceaux de papier me paralysé, c’était soit ma réussite, soit ma défaite qui se trouvait là dedans. Tous tournèrent la tête vers moi.

    « Je pense que c’est à toi de l’ouvrir Lùbelle. Après tout, c’est toi qui à participé, c’est à toi que reviens l’honneur de savoir la premier. » De savoir la mauvaise nouvelle plutôt, de l’annoncer … ou la bonne tout simplement. Moyen subtile de se débarrasser d’une horrible tâche à accomplir : la renvoyer sur la personne idéale. Je ne pouvais désormais plus me replier, j’étais piégée. Merci grand frère. Ma main tremblait lorsque je m’approchais pour agripper la lettre. Mes doigts fins et longs commencèrent à ouvrir la lettre, tout doucement, comme si ce qu’il y avait dedans courait à leurs pertes. Comme si après, ils ne pourraient plus jamais se balader sur le manche d’une guitare. Absurde. Je déchirais le dernier morceau de l’ouverture. J’entrevis un papier blanc, une deuxième enveloppe plus petite s’y trouvait. Un soupçon d’espoir apparu dans mais, ce qui n’échappa pas à ma famille. Ils se penchèrent tous un peu plus, me fixant comme jamais ils ne l’avaient fait. Pire que le jour où l’on avait appris que j’étais une sorcière. Je pris le papier blanc. Il y avait écrit au milieu de la page de simple mot. Deux petites phrases courtes. Bravo. Vous avez gagné. Contre toute attente je devins pâle, ma mère compris le contraire et se mis à pleurer. Je restais figée, moi, Lùbelle June Harringston, avait gagné un concours de musique. J’eus l’impression que l’électricité de toute la terre entière venait de passer dans mon corps, et une magnifique impulsion sortir de ma bouche. J’avais crié, de joie. Ma mère s’arrêta de pleurer. Ma tante se leva, me prit tout des mains et cacha l’argent. Pour la première fois, nous allions faire une vraie fête. Le reste partirait sur le champ à l’université qu’avait choisit Lyle.


    -----------------------------------------------------------------------


    « Nous reviendrons aux vacances de noël, c’est promis. » dis-je à ma mère et à ma tante en faisant ma valise. Tout était entassé dans un coin de la chambre, nous n’avions pas de meubles pour tout ranger. Je devais donc faire le tri, plier certaines affaires. Ma valise prenait toujours des heures à être prête. Celle de mon frère n’était pas mieux. Nous allions enfin retourner à poudlard. Je ne saurais dire où je me sentais le mieux, dans cet endroit délabré ou dans mon école. Au moins à poudlard, la sécurité était toujours présente, je mis sentait à l’aise. Ici, un dingue peut surgir de nulle part avec un couteau à la main. J’ai toujours peur qu’il arrive quelque chose à Lyle, ma mère ou tante Kelly quand je ne suis pas là. J’en ai parlé à Jude, il m’a répondu que je ne devrais pas autant m’inquiéter, ils on toujours survécu et cela ne changera pas. Mon frère est parfois un idiot fini. « Lyle, surtout rate tes études mon vieux ! » lança t-il en rigolant. Il y a quelques années, il se serait pris une gifle de ma tante. Maintenant nous sommes habitués.


    ---------------------------------------------------------------------------


    Ma mère nous accompagna à la gare comme d’habitude. Laisser ma famille ici alors que je serai tranquillement installée à poudlard en train de faire les conneries les plus démentielle - oui je suis une petite folle – avec mes amis me fendait le cœur. Je n’osai pas imaginer ce qui pouvait arriver. Mon frère compris à mon expression. Il me prit par l’épaule et me fit avancer. Je marchai à contre cœur, enfin presque, retrouver tout le monde me faisais plaisir. Je levais la tête vers mon frère.

    « Une nouvelle année commence. »
    « Nous retournons à la maison Lùbelle. Il n’y a pas de mal à ça. Tu te souviens, quand tu étais petite tu voulais déménager. Poudlard est ton chez toi, tu le sais. Tu as quittés depuis longtemps la vielle maison délabrés. Ce n’est plus qu’une vulgaire habitation de vacance. »
    « Notre deuxième maison Jude. Pas notre maison »
    « Si tu veux. »

    Je me dirigeais vers mon compartiment. Mes amis se trouvait pas très loin, je venais d’en apercevoir une. Finalement il me tardait de me retrouver à poudlard. J’adorais cet endroit. J’allais y passer ma cinquième année et j’avais encore temps à découvrir de ce mystérieux château. Dans cette école, tout était parfait, j’avais plein d’amis, les fêtes ne manquait pas … Souvent, il y avait des bataille de polochon dans les dortoirs. La belle vie se trouvait à poudlard. Malheureusement il ne lui restait que deux ans à passer là-bas. Tiens une amie !

    « Salut ! Alors tes vacances ? »
    « Bien et toi ? »
    « Bien. » Je me lançais dans un récit palpitant.



    Fin Very Happy


Dernière édition par Lùbelle J. Harringston le Sam 30 Oct - 13:21, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 10:13

Re-bienvenue à toi alors à se que j'ai lu Smile
Revenir en haut Aller en bas
Victoire Weasley
Gryffondor
Gryffondor
Victoire Weasley


Messages : 1337
Popularité : 757
Date d'inscription : 04/09/2010
Localisation : Quelque part... Dans le noir... Perdue ?
Avatar : Blake Lively

+ Me, Myself and I __
Force Magique:
Gallions:
Lùbelle J. Harringston Left_bar_bleue1200/10000Lùbelle J. Harringston Empty_bar_bleue  (1200/10000)
Inventaire:

Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 10:26

Et bien !! Tu t'es éclaté pour ton histoire !! On reconnait la griffe de l'expert ! Razz
Rebienvenue !!
Revenir en haut Aller en bas
Laïla Clennam
Serdaigle
Serdaigle
Laïla Clennam


Messages : 1133
Popularité : 268
Date d'inscription : 10/08/2010
Localisation : Je vole auprès du Lynx Multicolore .^^.
Avatar : Katie Melua

+ Me, Myself and I __
Force Magique:
Gallions:
Lùbelle J. Harringston Left_bar_bleue1540/10000Lùbelle J. Harringston Empty_bar_bleue  (1540/10000)
Inventaire:

Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 11:24

Re-bienvenue! (Je me charge de découvrir qui est ton DC Cool Mode investigateur on!) Tu t'es vraiment éclatée pour ton histoire, en effet! .^^.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 13:18

Bienvenue, ou plutôt re bienvenue !
Bonne chance pour le reste Smile
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 13:28

    Merci !!! Very Happy

    Laïla --> Mwouahahah ! Cool Tu trouveras pas Razz

    Ben, je crois que j'ai fini !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 13:29

C'est okay, mais, Gryffy ou Serdy ? xD
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 13:31

    Ah oui ! xD Alors euh ... Gryffondor. Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston EmptySam 30 Oct - 13:32


Bienvenue chez les
Gryffondor


Tu peux désormais aller te faire créditer 2oo Gallions à Gringott's.
Il faut aussi que tu ailles réserver ton Avatar & ton Patronus.
Si tu ne veux pas être perdue va aussi te créer une fiche de Lien & un répertoire de Rp.
Je rajoute 1o Points pour ta maison.
Bonne continuation à toi, & bon jeux.




Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Lùbelle J. Harringston Empty
MessageSujet: Re: Lùbelle J. Harringston   Lùbelle J. Harringston Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Lùbelle J. Harringston

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Harringston. || Life is a Garden Party.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hogwart's Devil :: L'entrée :: La Ceremonie de Répartition :: Présentations Validées-